Tous deux cités parmi les systèmes de chauffage les plus écologiques, la pompe à chaleur air/eau et le poêle à granulés ont la cote. Leur fonctionnement n’est en rien similaire, mais permet de chauffer une pièce ou un logement. L’usage est lui aussi différent tout comme le prix d’achat. Le poêle est plus adapté à des surfaces plus restreintes tandis que la PAC peut dévoiler son plein potentiel sur de grandes surfaces. Quel est alors le système à privilégier ? Sont-ils tous deux égaux ou l’un se différencie-t-il plus par rapport à l’autre ? C’est ce que nous allons voir dans cet article. Comment fonctionne une pompe à chaleur air/eau et un poêle à granulés ? Ces deux systèmes de chauffage fonctionnent différemment. Ils n’ont que peu de points communs entre eux. Pourtant, leur mode de fonctionnement respectif s’inscrit dans une démarche écologique qui attire de plus en plus. La PAC air/eau Comme son nom l’indique, la pompe à chaleur va puiser des calories dans l’air qui l’entoure pour produire de l’énergie. Avec cette dernière, elle va chauffer de l’eau qui sera ensuite distribuée dans l’ensemble du réseau hydraulique dédié au chauffage de la maison. Pour son fonctionnement, elle utilise une ressource naturelle l’air. L’électricité est également utilisée pour son alimentation et, son appoint électrique qui intervient en renfort lors de grands se compose de deux modules un à l’extérieur et un à l’intérieur du logement. Sa transmission de chaleur se fait par rayonnement grâce au réseau de radiateurs à eau présent dans le logement. Le poêle à granulés Le poêle à granulés fonctionne comme une cheminée. Il faut mettre un combustible à base de bois dans le foyer et c’est la combustion de ce dernier qui génère de la chaleur. Le poêle est cependant bien plus amélioré au niveau de ses rendements. Sa conception permet une meilleure gestion des fumées et une propagation de la chaleur mieux granulé ou pellet est un bâtonnet de chutes de bois compactés. Il est issu bien souvent de sciures ou de copeaux trouvant leurs origines dans la position du poêle à granulés est généralement au centre de la pièce principale. Il émet de la chaleur par convection grâce au ventilateur intégré. PAC ou poêle à granulés qui est le plus économique ? Une des différences majeures entre la pompe à chaleur et le poêle à granulés est le coût de l’équipement. Il faut savoir que ces deux matériels ne partagent pas les mêmes technologies, ce qui explique un écart de prix important. Comparatif du prix d’achat Le poêle à granulés est l’équipement le moins cher à l’achat. Son prix se situe aux alentours de 3 500-4 000 € en moyenne pour l’appareil seul. Il ne faut cependant pas oublier le coût de la fumisterie et de l’installation par un artisan qualifié. La PAC air/eau se situe dans une fourchette allant de 5 000 à 10 000 € pour les modèles les plus performants. Le nombre de technologies qui la composent est bien plus élevé, l’équipement est également plus massif. Ce qui explique en partie un prix supérieur. Pompe à chaleur Poêle à granulés Prix d’achat ≈ 9 250 € ≈ 3 750 € Prix d’installation 2 850 € 1 230 € Total achat 12 100 € 4 980 € Les aides financières Étant considérés comme écologiques, la pompe à chaleur air-eau et le poêle à granulés bénéficient d’aides à leur financement. Tout comme leur tarif, le montant de ces dernières varie d’un appareil à un autre. C’est notamment grâce à elles que l’on peut obtenir un retour sur investissement rapide. En 2020, vous pouvez profiter de MaPrimeRénov’ Prime issue du Crédit d’Impôt CITE et de l’ANAH, c’est la nouvelle aide de l’année 2020. Elle octroie, sous conditions de ressources, jusqu’à 5 000 € pour une PAC air/eau et jusqu’à 3000 € pour un poêle à granulés. La prime Coup de Pouce Également appelée prime CEE, elle permet de bénéficier de 4 000 € pour l’achat d’une pompe à chaleur. Dans le cadre d’un poêle à granulés, le financement est de 800 € maximum. L’éco prêt à taux zéro éco-PTZ Il s’agit d’un prêt aux taux d'intérêt nul, pour un type de travaux ou un bouquet comportant plusieurs projets de rénovation peut aller jusqu'à 15 000 euros pour une action simple et jusqu'à 50 000 euros pour une série de trois travaux ou plus changement de menuiserie, isolation, etc. Il peut servir à payer le montant restant à charge. Pompe à chaleur Poêle à granulés Montant de l’installation 12 100 € 4 980 € Total maximum d’aides 9 000 € 3 800 € Prix à payer après aides ≈ 3 100 € ≈ 1 180 € La consommation d’énergie De manière générale, on apprend que l’électricité est l’énergie qui coûte le plus cher. Ainsi la pompe à chaleur serait-elle un trou béant sur la facture ?Non, il s’agit de l’exact inverse, c’est le mode de chauffe le plus économique quand on parle de consommation annuelle. En effet, une PAC a, en moyenne, un COP Coefficient de Performance de 3 jusqu’à 5 ; c’est-à-dire que pour seulement 1 kWh consommé, la PAC air/eau restitue 3 kWh jusqu’à 5kWh. Au contraire, un poêle à bois n’en produit que 0,8 performance de l’appareil compense très largement le prix de son énergie. Il faut cependant nuancer avec le faible coût des granulés. L’un consomme peu avec une énergie onéreuse tandis que l’autre a une consommation plus conséquente, mais profite d’une énergie à bas prix. Les avantages de la PAC et du poêle à granulés La pompe à chaleur Le coût de la consommation annuelle grâce à son COP Système de chauffe écologique Est adaptée à un chauffage central d’une maison. La PAC air-eau est le chauffage principal Peut produire l’eau chaude sanitaire Existe en modèle hybride pour un fonctionnement avec une chaudière fioul ou gaz Voir nos pompes à chaleur Le poêle à granulés Investissement modéré à l’achat. Prix du combustible. Profite d’un entretien annuel moins couteux. Les inconvénients de la PAC et du poêle à granulés La pompe à chaleur Investissement élevé à l’achat Entretien annuel plus onéreux Ne convient pas aux grandes maisons mal isolées hors pompes à chaleur hybrides Prévoir un emplacement intérieur buanderie, garage + un emplacement pour l’unité extérieure Le bruit émis par l’unité extérieure peut gêner le voisinage. A ne pas installer trop proche de leurs pièces de vie Le poêle à granulés Bruit de la ventilation du poêle Nécessite une intervention humaine pour le remplissage de pellets toutes les 10 à 16 heures en moyenne Nécessite un espace de stockage sec pour les granulés, l’achat de ces derniers se fait généralement à la tonne Ne peut pas chauffer le logement en cas d’absence prolongée Ne peut pas produire d’eau sanitaire Est plus adapté en chauffage d’appoint ou pour chauffer une grande pièce. Il faut prévoir des radiateurs électriques en complément Est écologique seulement si le centre d’approvisionnement des granulés se trouve à proximité. Sinon la distance parcourue par le combustible inverse la tendance et à une empreinte carbone négative Que choisir entre la pompe à chaleur et le poêle à granulés ? Les deux systèmes de chauffe présentent une multitude de points positifs non négligeables. Ils sont les principaux acteurs de la transition vers un chauffage éco-responsable. Cependant, ils ne sont pas adaptés à tous les foyers. Il faut en effet bien connaître ses besoins avant de savoir lequel des deux nous correspond. Un poêle à granulés est plus enclin à un petit logement qui s’axe principalement autour de la pièce centrale. Si le logement comporte un étage, un appoint est à prévoir comme des radiateurs électriques par exemple. La surface maximale pouvant être chauffée est de 100 m². Il faut également prendre en compte que le poêle nécessite une intervention humaine fréquente pour continuer de chauffer. Tandis que la pompe à chaleur est davantage adaptée à une maison d’une surface moyenne à grande. Elle est davantage polyvalente grâce à la possibilité de produire l’eau chaude sanitaire, à sa programmation et son faible coût de consommation. Toutefois son prix de départ lui fait défaut mais est à nuancer avec l’apport des aides. Bien évidemment d’autres facteurs sont à prendre à compte dans ce choix crucial. Pour cela, il ne faut pas hésiter à faire appel à des professionnels pour être aiguillé.
Etc’est tout. Le régulateur gère de manière autonome le fonctionnement de votre PAC hybride. Il met en route l’équipement le plus performant en fonction de la température extérieure et du prix des énergies : la PAC air eau seule, la chaudière gaz THPE seule ou les deux simultanément. Un équipement intelligent qui assure votre
La flambée du prix des énergies fossiles en 2022 a fortement bousculé les exigences des particuliers, dans le choix de leurs équipements de chauffage. Voulant sortir du fioul ou du gaz naturel, les Français se tournent de plus en plus vers des appareils vertueux et économes, à l’exemple de la pompe à chaleur. Ce souci de réaliser des économies d’énergie amène alors une question récurrente chez les potentiels acheteurs quelle est la rentabilité d'une pompe à chaleur, par rapport à un système fonctionnant aux "anciennes" énergies ? Une question complexe, qui ne peut se satisfaire d’une réponse unique. IZI by EDF vous démontre pourquoi cette question est plus compliquée qu’elle n’y paraît. Découvrez les critères à prendre en compte pour que votre pompe à chaleur puisse réellement avoir une incidence sur vos futures factures énergétiques. Quels points de vigilance pour réaliser des économies avec sa PAC ? Installer une pompe à chaleur chez soi, pour son chauffage ne peut se faire sur un coup de tête ou pour suivre une "tendance" ! En effet, par souci de réduire leurs factures alors que le prix des énergies fossiles est en hausse régulière, les particuliers s’engagent dans un projet d’installation de pompe à chaleur avec un objectif majeur réaliser des économies. Certes, cet équipement s’alimente principalement avec une énergie renouvelable les calories présentes dans l’air ou dans le sol. La rentabilité d'une pompe à chaleur est également attendue grâce à d’excellentes performances énergétiques et un très bon rendement. Cependant, ces qualités sont visibles uniquement si votre installation de chauffage répond à des considérations à prendre préalablement en compte, avant toute installation. Situation géographique et climat Les pompes à chaleur aérothermiques, air/eau ou air/air, sont les modèles les plus couramment utilisés. Ces derniers fonctionnent en prélevant les calories naturellement présentes dans l’air pour chauffer l'intérieur de votre logement. Ceci rend donc votre équipement tributaire des conditions météorologiques de votre région de résidence. En effet, certains modèles de pompes à chaleur ne suffiront pas à couvrir vos besoins en chauffage, si vous logez dans une région aux hivers rigoureux, avec des températures extérieures très basses. L’isolation de votre maison Dans le cadre d’un projet de rénovation énergétique, l’isolation d’un logement représente une part importante du chantier global, pour réduire les déperditions thermiques. Si votre maison n’est pas habillée d’une isolation performante de ses combles ou de ses murs, vous perdez une part importante de la chaleur produite. La pompe à chaleur doit alors fonctionner à plein régime et en continu pour tenter de répondre à vos besoins. C’est pour cette raison, notamment, que nos experts IZI by EDF s’intéressent d’abord à l’isolation de votre habitation, avant d’évaluer la faisabilité d’un projet d’installation d’une pompe à chaleur. Aussi puissante soit-elle, une pompe à chaleur ne peut pas vous permettre de réaliser des économies d’énergie et de chauffer correctement votre logement, si la couverture thermique est inexistante. Typologie du foyer Le choix de votre pompe à chaleur dépend aussi de différents facteurs internes à votre foyer quelle superficie et volume sont à chauffer ? Combien de personnes vivent sous votre toit ? La PAC doit-elle couvrir uniquement vos besoins en chauffage ou également la production d’eau chaude sanitaire ? Les émetteurs de chaleur sont également à prendre en compte radiateurs en fonte ou en acier, plancher chauffant… Efficacité et performances de l’appareil Le choix et la rentabilité d’une pompe à chaleur ne dépendent pas uniquement de la marque de l’appareil et de son design ! Différents critères sont à prendre en compte pour évaluer ses performances Le coefficient de performance COP il s’agit du rapport entre la quantité de chaleur produite et l’électricité consommée pour chauffer votre logement. Ce COP est variable en fonction du type de pompe à chaleur et affiche un rendement oscillant entre 2 et 6. Cette donnée est calculée dans les laboratoires de développement des fabricants, pour un fonctionnement avec une température extérieure généralement fixée à + 7°C. Les labels Il est conseillé de se tourner vers des modèles de pompes à chaleur dotés de labels garantissant leur qualité, une bonne durée de vie et l’assurance de répondre aux normes et exigences françaises et européennes. Le label NF PAC assure la bonne conformité de l’équipement. Sinon, la certification Eurovent compare les caractéristiques techniques des appareils et permet de vérifier la conformité des performances revendiquées par les fabricants. À noter, pour le choix d'un artisan qualifié et connaissant bien le produit, il est utile de faire appel à un professionnel QualiPAC, une certification créée par l'AFPAC Association française pour les pompes à chaleur et assurant une bonne installation et un suivi après pose de votre équipement. La performance saisonnière SCOP pour la production de chaleur, ou SEER pour le refroidissement PAC air/air, cet indicateur permet d’évaluer le coefficient de performance de l’appareil sur toute une période de chauffe ou de climatisation. Ce calcul prend en compte des indicateurs complémentaires tels que la température de départ d’eau dans le circuit de chauffage, ou encore les températures relevées dans trois climats représentatifs en Europe. Enfin, il est nécessaire de rappeler le rôle important du bon entretien de votre PAC pour assurer sa longévité et son bon fonctionnement dans la durée. Différentes PAC, pour différents niveau de rentabilité Il existe plusieurs modes de fonctionnement pour la pompe à chaleur l’aérothermie PAC air/eau ou air/air et la géothermie sol/eau, eau/eau. Le choix entre ces différentes configurations dépend, entre autres, du type d’émetteurs déjà présents chez vous, mais aussi de la surface à chauffer et du terrain où se trouve votre logement. L'aérothermie implique le prélèvement des calories présentes naturellement dans l'air extérieur pour la production de chaleur. Ainsi, la pompe à chaleur air/eau est la plus simple à installer dans le cas d’un remplacement de chaudière traditionnelle fonctionnant au gaz ou fioul en maison individuelle, en raccordant au circuit de radiateurs et/ou à votre plancher chauffant. En moyenne, comptez entre 10 et 15 000 € de budget hors aides financières. La PAC air/air, quant à elle, est idéale pour remplacer d’anciens radiateurs électriques, en installant des splits ou consoles sur les murs, ou encore en réseau gainable encastré dans un faux plafond. Pour une installation dans 3 ou 4 pièces de votre maison, comptez environ 10 000 € de budget peu d’aides financières existent. Inconvénient ce système ne peut assurer la production d'eau chaude sanitaire. La pompe à chaleur géothermique a la particularité de fonctionner en récupérant les calories directement dans le sol PAC sol/eau ou dans l’eau de nappes phréatiques ou d'une source d'eau souterraine eau/eau. Ces installations représentent un investissement de départ plus conséquent, mais ont l'avantage d'être des solutions apportant un retour sur investissement plus rapide. En effet, les coefficients de performance sont meilleurs qu'avec des solutions aérothermiques, du fait que les appareils ne sont pas soumis aux contraintes climatiques et à de grosses différences de température entre l'intérieur et l'extérieur de votre maison. Cependant, leur installation implique des travaux plus conséquents et des autorisations spéciales de votre commune pour le forage des sols et l'implantation de capteurs dans les sols ou une source d'eau. L'investissement pour une PAC géothermique affiche un montant entre 14 et 18 000 €, en incluant les opérations de forage verticaux ou horizontaux et l'implantation des capteurs de calories. À noter que, hormis la PAC air/air qui n'est éligible qu'à très peu d'aides financières, il est possible d'amortir rapidement votre investissement pour un de ces équipements grâce à différentes primes proposées par l'État MaPrimeRénov, Coup de Pouce chauffage... pour inciter les particuliers à faire le choix de la transition énergétique pour leur chauffage. Comment calculer la rentabilité d'une pompe à chaleur ? À la lecture de ces différentes données, vous gardez certainement en tête votre question principale en combien de temps puis-je espérer un retour sur investissement grâce à ma future pompe à chaleur ? La crise autour du coût des énergies vous incite peut-être à vous hâter pour trouver une solution plus rentable, permettant de réduire vos consommations d’électricité ou de gaz. Les différents éléments présentés en amont vous démontrent cependant qu’il est quasiment impossible de vous avancer, de façon précise, un pourcentage d’économies réalisable. Il est en effet compliqué d’avancer des chiffres sans avoir une connaissance pointue de votre logement mais aussi de vos habitudes de consommation du chauffage. Vous venez d’investir dans une PAC et vous essayez de faire un calcul estimatif ? Le délai de rentabilité de votre pompe à chaleur dépend principalement de différents facteurs. Encore une fois, il ne s’agit pas d’une vérité unique pour tous les foyers, ce calcul dépendant de nombreux éléments jusqu’au comportement des résidents de votre foyer sur les réglages de la température intérieure. Dans le cas d’une maison répondant à tous les critères garantissant le bon fonctionnement de la PAC, comme l’isolation, il faut prendre en compte quelques détails majeurs le prix d’achat de votre PAC ; le coût de votre chauffage avec votre précédent équipement, comme une chaudière gaz, par exemple ; le coefficient de performance, ou COP, de la PAC ; le montant des économies réalisées. En moyenne, le besoin en chauffage à l'année est de 110 kWh/m²/an si votre maison est de classe énergétique C ou D. Vous pouvez procéder de cette façon 1 Calculez votre consommation annuelle d'énergie avec votre ancien chauffage. 2 Comparez avec les consommations en électricité de votre PAC, sachant que cette dernière produit plus d'énergie qu'elle n'en consomme. 3 Divisez votre besoin d'énergie de chauffage par la valeur du COP, et évaluez ainsi la différence de consommation annuelle en gaz ou en électricité avec les deux modes de chauffage. 4 Rapportez le ce calcul au montant d'achat de votre PAC en le divisant par l'économie réalisée entre le gaz et l'électricité. Ceci vous permet d'avoir un aperçu sur le délai de retour sur investissement envisageable avec l'installation d'une pompe à chaleur. En moyenne, il est constaté que ce dernier se déroule plus rapidement dans le cas de l'installation d'une PAC géothermique, moins sujettes aux différences de température, comme peut l'être une PAC aérothermique. En conclusion, nous vous invitons avant tout à vous tourner vers un professionnel qualifié afin de définir le meilleur système de chauffage pour votre logement, et à commencer vos démarches par un bilan thermique de l'habitation. Chez IZI by EDF, nous travaillons exclusivement avec des artisans Reconnus Garants de l'Environnement RGE, bien au fait avec les réglementations en vigueur, pour installer chez vous une solution vous permettant de réaliser de véritables économies d'énergie.
Voyonsmaintenant une autre aide qui pourrait vous être accordée. Le taux de TVA réduit pour les travaux de rénovation énergétique. Vous devez savoir que la TVA représente une part importante d’une facture.. Le taux de base est de 20 %.. Mais pour l’installation d’une PAC Air Eau, Eau Eau ou Géothermique dans votre maison secondaire, il est réduit à 5,5%.
Type de pompe à chaleur Viessmann – air-eau en split ou bi-bloc La pompe à chaleur se classe en plusieurs catégories Aérothermie PAC air-air ou PAC air-eau - L’énergie gratuite est puisée dans l’air Géothermie PAC sol-eau ou PAC eau-eau - L’énergie gratuite est puisée dans le sol ou dans l’eau nappe phréatique ou veine d’eau souterraine la plupart du temps Demandez conseil à un professionnel du confort thermique Conseil, installation, maintenance et suivi à long terme confiez votre projet à un installateur Viessmann proche de chez vous. voir plus >>> La pompe à chaleur air-air La PAC est comme un climatiseur réversible. Il n’y pas de vecteur eau en jeu. Elle ne peut donc fournir que du chauffage du rafraîchissement mais pas de production d’eau chaude sanitaire. La pompe à chaleur air-eau La PAC va transmettre ses calories à un circuit d’eau chaude pour alimenter des radiateurs, un plancher chauffant, voire des ventilo-convecteurs si le rafraîchissement est requis. La PAC air-eau peut également produire l'eau chaude sanitaire. Le mode rafraîchissement est possible par inversion de cycle. La pompe à chaleur géothermique La PAC utilise la chaleur du sous-sol terre ou nappe phréatique afin de chauffer un réseau d’eau de chauffage ainsi qu'assurer la production de l’eau chaude sanitaire. Le mode rafraîchissement est aussi possible par inversion de cycle. A lire également
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Pompe à chaleur PAC "air/eau" Comme elle soutire la chaleur directement dans l’air extérieur, une pompe à chaleur PAC "air/eau" est bien moins chère à installer qu’une PAC "sol/eau" ou une PAC "eau/eau". Par contre, contrairement à ces deux PAC, sa source d’énergie – l’air – connaît de grandes variations de température au cours de l’année. Ainsi, le rendement d’une PAC "air/eau" peut être excellent en mi-saison, mais il peut baisser fortement au coeur de l’hiver, car la température de l’air extérieur est la plus froide justement au moment où le bâtiment a le plus besoin de chaleur. En conséquence, une PAC "air/eau" trouve bien sa place dans un bâtiment neuf ou rénové qui peut être chauffé toute l’année à basse température 35° au départ du circuit d’eau de chauffage par des chauffage au sol. Il est aussi possible d'installer une PAC "air/eau" dans un bâtiment équipé de radiateurs, à condition qu'ils présentent assez de surface pour que la température de départ du chauffage reste en-dessous de 55°C idéalement 50°C ou moins. Remplacer la chaudière à mazout par une pompe à chaleur "air/eau" Pour des bâtiments situés en altitude ou dans un climat très froid comme dans certaines vallées du Jura, une PAC "air/eau" fonctionne souvent en tandem avec une autre source de chaleur poêle à bois ou chaudière à combustible qui vient en appoint ou qui prend totalement le relais pour les périodes les plus froides. En plaine, lorsqu’on veut installer une PAC "air/eau" dans un bâtiment partiellement rénové qui ne peut pas se chauffer à basse température toute l’année, on peut avoir intérêt à garder l’ancienne chaudière système de chauffage dit "bivalent". Touchez l’image pour l’animer Pompe à chaleur PAC "air/eau". Elle aspire l’air extérieur et rejette de l’air plus froid que l’air extérieur. Rendement en baisse par grands froids Les PAC "air/eau" ont fait beaucoup de progrès et peuvent fonctionner dans une fourchette de températures extérieures qui va de -20°C à +35°C. Les meilleures PAC sont dites "à vitesse régulée" ou "inverter", ou "modulantes", c’est à dire qu’elles ne fonctionnent pas en mode "tout ou rien" elles adaptent leur rythme aux besoins du bâtiment et à la température extérieure. Elles évitent ainsi les mises en route/arrêts trop fréquents, et recourent moins souvent à la fonction de dégivrage. En effet, puisqu’elle soutire de l’énergie à l’air qu’elle aspire, une PAC "air/eau" rejette de l’air plus froid que l’air ambiant. En conséquence, dès que la température de l’air extérieur se situe aux alentours de 7°C, la PAC doit faire face à un problème de givre qui s’accroît avec le taux d’humidité. Elle doit donc enclencher un dispositif de dégivrage qui consomme de l’électricité, ce qui affaiblit nettement son rendement. De plus, lorsque la PAC peine à pomper suffisamment de chaleur dans l’air froid, elle recourt à un corps de chauffe électrique, notamment pour préparer l’eau chaude sanitaire. Ainsi, lors des jours très froids, la consommation électrique peut être très élevée, même dans un bâtiment bien isolé. Les PAC "air/eau" se divisent en 3 grandes familles A. Les PAC "air/eau" intérieures, à placer dans le bâtiment il faut une entrée et une sortie d’air de grand diamètre, ainsi qu’une évacuation pour l’eau de condensation. On les installe idéalement dans un angle, afin que l’aspiration et l’éjection de l’air puissent se faire dans deux directions bien séparées pour éviter d’aspirer de l’air refroidi. B. Les PAC "air/eau" split, en deux parties le compresseur se situe à l’intérieur du bâtiment, et l’évaporateur à l’extérieur. C. Les PAC "air/eau" extérieures, installées entièrement hors du bâtiment. Penser au bruit et aux rejets d’air froid Toute pompe à chaleur munie d’un compresseur engendre du bruit et des vibrations. La PAC "air/eau" produit un bruit supplémentaire en raison de son ses ventilateurs et du fort courant d’air qui les traverse. Là aussi, les fabricants on fait beaucoup de progrès pour rendre leurs appareils moins bruyants, et les bons installateurs ont appris comment éviter de propager les vibrations dans la tuyauterie et dans les murs. Cependant, avant d’installer une PAC "air/eau" – et surtout si elle est destinée à l’extérieur – il faut toujours s’assurer qu’elle ne dérangera pas les voisins ni les habitants de son propre bâtiment. La PAC doit respecter l’Ordonnance sur la protection contre le bruit OBP et, souvent aussi, un règlement communal. L’installateur doit dans tous les cas procéder à un "pronostic acoustique". Il est important aussi de penser aux rejets d’air froid, premièrement pour éviter que l’air refroidi par la pompe à chaleur se mélange à l’air qu’elle aspire, et deuxièmement pour ne pas créer de problèmes de courants d’air et de refroidissement du bâtiment – chez soi ou chez les voisins. "Heures de blocage", tampon de chaleur et électricité solaire Une PAC "air/eau" se branche généralement sur le courant triphasé 400 V. Comme c’est un appareil qui peut soutirer beaucoup de courant, la plupart des fournisseurs d’électricité imposent des "heures de blocage", afin qu’elle ne fonctionne pas aux heures de pointe de consommation autour de 12h et de 19h. Le fournisseur d’électricité peut aussi proposer un tarif préférentiel durant les heures auxquelles son réseau est peu sollicité – c’est-à-dire pendant la nuit. Or, ce sont justement les heures durant lesquelles l’air extérieur est le plus froid – et le rendement de la PAC est le moins bon! Ainsi, lorsqu’il y a un décalage entre le fonctionnement de la PAC et les besoins de chauffage du bâtiment, il est raisonnable et le plus souvent nécessaire ou obligatoire d’installer un gros réservoir-tampon d’eau chaude qui va servir de stockage de chaleur. Ce réservoir-tampon est particulièrement utile lorsque, par temps froid, la PAC doit procéder à son dégivrage par inversion du circuit de chauffage. En raison de leur coût qui a beaucoup baissé, les panneaux solaires photovoltaïques forment un tandem idéal avec une PAC "air/eau", surtout si on peut auto-consommer sa production d’électricité pendant les heures de blocage de midi. Il est aussi possible d’adjoindre à l’installation un rack de batteries au lithium de la taille d’un lave-vaisselle pour stocker l’électricité solaire non utilisée, ce qui permet d’accroître encore la part d’autoconsommation du bâtiment. Profiter des rejets de chaleur et de la chaleur du sol Une PAC "air/eau" peut profiter des rejets de chaleur, par exemple en aspirant l’air tiède à la sortie d’une aération de bâtiment, d’un tunnel, d’un garage souterrain ou d’un processus industriel. Et si la PAC n’a pas besoin d’un grand débit d’air, son rendement peut être amélioré lorsque l’air aspiré passe auparavant au travers d’un "puits canadien" long circuit d’aération enterré à 1,5-2 m sous terre. Une pompe à chaleur "air/eau" est au bon endroit Si ce chauffage est en accord avec la planification énergétique territoriale. Si le bâtiment ne se situe pas dans un climat trop froid. Si le bâtiment est bien isolé pour être chauffé à basse température ~35°C. Si le chauffage se fait par le sol idéal ou par des radiateurs de très grande surface avec des radiateurs, la température de l'eau de chauffage sera plus élevée ~50°C. S’il y a assez de puissance électrique dans le bâtiment pour faire fonctionner la PAC en général 3 x 400V. Si la puissance de la PAC est adaptée aux besoins de chaleur du bâtiment dimensionnement. Si la PAC porte le certificat de qualité EHPA, et si l’ensemble de l’installation bénéficie d’une garantie de performance PAC Système-Module. Si le bruit de l’installation et les rejets d’air refroidi ne dérangent pas le voisinage ni les habitants du bâtiment. Si on installe aussi des panneaux solaires photovoltaïques ou/et des capteurs solaires thermiques. Si l’installation est régulièrement suivie. Si on ne laisse pas la neige et les feuilles mortes gêner les mouvements d’air. Et si on ne laisse pas le chauffe-eau s’entartrer. Quitter le mazout pour une pompe à chaleur "air/eau" Groupement professionnel suisse pour les pompes à chaleur garantie de performance pour que l’installation de chauffage fonctionne parfaitement
PACeau-eau ou PAC air-eau. Par aivlis. aivlis. Apprenti bricoleur. Message(s) : 10 . le 16/12/2013 à 00h02 Bonjour,
Avec plus de 80 ans d'expérience, nos solutions de pompes à chaleur se concentrent sur le confort et l'efficacité grâce à des technologies de pointe, conçues pour créer le climat intérieur parfait toute l'année. Pour répondre aux besoins et aux demandes de nos clients, nos pompes à chaleur aérothermiques évoluent et s'améliorent constamment et sont conçues pour s'adapter parfaitement à chaque besoin. Choisissez le modèle qui correspond le mieux à vos besoins parmi la large gamme air/eau. Pour voir plus de gammes et de solutions, cliquez ici, et si vous souhaitez recevoir plus d'informations d'un professionnel, trouvez le plus proche de chez vous dans notre section où acheter. Questions fréquemment posées FAQs Pompe a chaleur air air ou air eau? Que choisir entre une pompe à chaleur air air ou air eau? Cela dépendra de votre besoin ! Les 2 sont généralement réversibles donc capables de faire du chaud et du froid. La différence principale repose sur le vecteur de diffusion la pompe à chaleur air air apporte chaleur ou rafraichissement via une unité qui souffle de l’air alors que la pompe à chaleur air eau permettra de chauffer ou rafraichir via des émetteurs de type hydraulique radiateur, plancher chauffant, ventilo-convecteur. Comment fonctionne une pompe a chaleur? La pompe à chaleur aérothermique peut-être de type air air ou air eau, elle est généralement constituée d’un groupe extérieur et d’une ou plusieurs unités intérieures. Pour faire du chauffage Le groupe extérieur puise les calories naturellement présentes dans l’air extérieur. Le fluide frigorigène absorbe ces calories en se comprimant, les transporte puis les libère via l’unté intérieure en se condensant. Cette chaleur ainsi transférée se diffuse - via les émetteurs de chauffage radiateurs, planchers chauffants… pour une PAC air eau- via une unité murale, console, cassette ou gainable qui vont souffler l’air chaud ou froid pour une PAC air air. Pour faire du rafraichissement ou de la climatisation, ce même principe s’applique dans le sens inverse on absorbe les calories de la maison pour les rejeter vers l’ important, même si une part d’électricité est nécessaire pour faire fonctionner la PAC, cette énergie puisée dans l’air extérieur est, elle, complètement gratuite. Comment calculer le cop d'une pompe a chaleur? Le COP traduit la performance d’une pompe à chaleur dans des conditions normées de température d’air et d’eau. Il est défini comme le rapport entre la quantité d’énergie transférée par la pompe à chaleur, c’est-à-dire la puissance calorifique en kW, et la puissance électrique appelée en kW par la pompe à chaleur.
PACair-eau, air-air, géothermique (sol-eau et eau-eau) 7000 à 25.000 € Malgré ce montant élevé, le retour d’investissement et la rentabilité de la pompe à chaleur hybride sont très rapides jusqu’à vous faire gagner entre 10 % à 25 % d’économie sur votre facture énergétique par rapport à une chaudière seule ou d’autres systèmes de chauffage.
Bonjour, On peut faire de l'ITT, mais il faut parfois une éventuelle protection solaire contre les "sur-chauffes"! ITT = Isolation Thermique Transparente. Envoyé par 30bjl Pour en revenir à la LDV, je m'imaginais doubler en 200 + bardage sur mes murs de 700, ça va dépasser sur la voie publique Il vaut mieux un mur de pierre de 700mm que de 300mm! Même en roche cristaline! Un mur "non isolé" de 700mm, "isole intrinsèquement mieux" qu'un de 300mm roche cristaline. Coefficient de transmission thermique U d'une mur de pierre de 300mm = 3,9 Coefficient de transmission thermique U d'une mur de pierre de 700mm = 2,7 Si c'est de la roche sédimentaire molasse ou du grès, ça peut tomber à U = 2 MV 2600 De plus il y a toutes sortes de choses pour "tenir un mur" enduit extérieur U=0,87, mortier U=1, enduit intérieur U=0,7 - plâtre U=0,5 y'a même de l'air... Donc on ne part pas d'une isolation = 0 même non isolé En ITE, on de plus tirer avantage d'un mur épais grâce à son inertie thermique, soit sa capacité à emmagasiner de la chaleur la journée et ce avec n'importe quelle épaisseur d'isolant en ITE. Le principe même de l'ITT Ici une mine d'or pour calculer l'inertie thermique de son mur mais il doit y avoir des sites web qui vous le font en rentrant simplement les données Dès la page 16, vous avez des exemples et une formule de calcul pas compliquée pour faire le total. A la page 19, vous avez un exercice puis réponse plus loin, comme ça on peut valider si la façon dont on a fait son calcul est correct. Page 7, figure 1, on comprend pourquoi il vaut mieux isoler par l'extérieur, sinon vous avez les deux flèches de convections qui se retrouvent situées de part et d'autre de l'épaisseur de l'isolant.. si vous voyez ce que je veux dire... Vous y rajoutez l'effet des ponts de froid et vous commencez à avoir le tableau des em... que vous pouvez retourner à votre avantage, alors pourquoi pas... Donc je dirais que peu importe l'épaisseur de l'ITE, ça vaut toujours mieux que l'ITI, du moment que la surface de l'isolation ne changera pas beaucoup ...mais on ne peut pas tout avoir, il y a plus de taf, ça c'est sûr! Et le taf c'est idéal pour lutter contre un "coef d'isolation graisseux bedonnant", je parle pour moi Autres données de coefficients de transmission thermique U de parois types PS Il y a de petits hybrides perforateur-perçeuse je ne parle pas d'une perçeuse à simple percussion, pas plus gros qu'une perceuse 2kg avec du 6mm ça s'enfonce dans un mur presque comme dans du beurre faut mettre un arrêt, sinon on va trop loin s'en s'en appercevoir.... Crdt.
n7LyvL4. 8cccviv6yb.pages.dev/2108cccviv6yb.pages.dev/2518cccviv6yb.pages.dev/58cccviv6yb.pages.dev/1208cccviv6yb.pages.dev/98cccviv6yb.pages.dev/4768cccviv6yb.pages.dev/3358cccviv6yb.pages.dev/74
pac air eau ou eau eau ou hybride