Poursa conception, Aston Martin est parti du châssis de la DB6 avec les suspensions avant à triangles superposés et le pont arrière rigide, déjà présent sur les DB5. Sous le capot, la DBS est dotée à ses débuts du 6-cylindres en ligne 4 litres de 286 ch de la DB6, le temps au motoriste maison, Tadek Marek, de mettre au point le V8
On le répète souvent, l’agent 007 d’aujourd’hui est bien différent de celui de ses débuts. Mais s’il y a bien une chose qui n’a pas changé chez James Bond, c’est son goût immodéré pour les bolides les plus luxueux. Et peu lui importe s’il doit faire des infidélités à sa marque Martin, le choix du cœurAujourd’hui, tout le monde associe James Bond à une seule et unique voiture, la somptueuse Aston Martin DB5, produite seulement entre 1963 et 1965. Mais cette évidence date seulement de l’ère Daniel Craig, et il faut revenir quelques années en arrière pour comprendre comment elle s’est imposée. D’abord, ce cher 007 ne conduit pas les modèles de la marque britannique dans les romans de Ian Fleming. Et lors de ses deux premières apparitions au cinéma, Bond se tourne plutôt vers une petite Sunbeam Alpine, une sublime Bentley de 1935 et même des Chevrolet américaines. Il faut attendre le troisième épisode fondateur – GOLDFINGER Guy Hamilton, 1964 –, pour que James soit doté pour la première fois d’une Aston Martin DB5. Et quelle voiture ! Outre ses lignes à se damner, elle est équipée d’une ribambelle de gadgets et d’armes à peine croyables pour l’époque. Cette idée géniale fait sensation auprès du public, et dès le film suivant, OPÉRATION TONNERRE Terence Young, 1965, la DB5 fait son retour dans la scène pré-générique. Mais elle disparaît ensuite de la franchise pendant exactement trente Lazenby conduit bien une Aston Martin DBS – qu’il transforme en voiture de mariage – dans AU SERVICE SECRET DE SA MAJESTÉ Peter Hunt, 1969, mais il s’agit d’un baroud d’honneur, avant que la firme ne disparaisse de la saga pendant une éternité. Roger Moore ne posera en effet jamais ses mains sur le volant d’une Aston voir plus bas, et le marque ne fera pas son retour avant que Timothy Dalton ne pilote une V8 Vantage capable de skier sur la neige dans TUER N’EST PAS JOUER John Glen, 1987. Cool, mais pas aussi cool que le retour de la DB5 fétiche de Bond dans GOLDENEYE Martin Campbell, 1995, et pour une scène de poursuite mémorable sur les pentes de la Riviera avec la Ferrari F355 de Xenia Onatopp Famke Janssen. Malheureusement, un accord commercial avec un autre fabricant on en parle après empêche Aston d’aller plus loin, et la DB5 doit se contenter d’une très brève apparition dans le film suivant. Mais la marque fait un retour fracassant dans MEURS UN AUTRE JOUR Lee Tamahori, 2002, où la toute nouvelle V12 Vanquish joue un rôle primordial et devient célèbre pour sa transformation en voiture ce choix discutable, l’arrivée de Daniel Craig marque un retour aux sources, et la mode du vintage aidant, il n’est pas étonnant de voir la DB5 apparaître dans tous les derniers films, à l’exception de QUANTUM OF SOLACE Marc Forster, 2008, qui s’ouvre tout de même par une scène de poursuite incroyable où Bond endommage quelque peu son Aston DBS. Ce retour dans le passé est même au cœur du crépusculaire SKYFALL Sam Mendes, 2012, dans lequel 007 emmène une M médusée dans son vieux manoir écossais à bord de son inconfortable DB5, avant de sacrifier cette dernière de façon spectaculaire dans la bataille finale. Des scènes déjà culte qui rendent hommage à la voiture la plus célèbre de 007, et qui l’installent définitivement comme la référence indéboulonnable. Dire qu’Aston Martin n’était pas très enthousiaste à l’idée de prêter son bolide pour GOLDFINGER… Mais en apparaissant si souvent au détriment de la rareté qui faisait sa valeur, la DB5 ne risque-t-elle pas de perdre de son lustre légendaire ?BMW, le choix du portefeuillePersonne n’imagine désormais Bond conduire autre chose qu’une Aston Martin, mais comme on l’a déjà dit, cela n’a pas toujours été de soi. Prenez par exemple une époque pas si lointaine, les années 1990 avec Pierce Brosnan dans la peau de 007. À l’époque, les placements de produits dans les films James Bond atteignent des sommets. Il y en a partout, tout le temps, et parfois pour n’importe quoi. Autant dire que la signature d’un accord marketing très lucratif avec BMW pour que des modèles de la marque apparaissent dans trois films 007 n’est pas ce qui arrivé de pire à GOLDENEYE et ses deux successeurs. Mais chez les fans, ce choix fait encore grincer des dents. James Bond au volant d’une allemande ? Vous n’y pensez pas, my Lord ! Et pourtant, dès 1995, Pierce Brosnan se retrouve à bord d’une Z3 décapotable, qui apparaît ici pour la première fois à quelques mois de sa sortie, et qui, comble de l’insupportable, ne fait pas usage de ses gadgets et n’est pas non plus détruite comme la plupart des voitures de Bond. La publicité est certes colossale, mais la postérité retient surtout le retour dans le film de l’Aston Martin DB5…Dans DEMAIN NE MEURT JAMAIS Roger Spottiswoode, 1997, le bilan automobile est aussi contrasté la BMW 750iL choisie constitue une faute de goût grossière qui imagine Bond dans une berline de grand patron ? Mais en même temps, comment oublier cette scène où l’agent pilote sa voiture et ses armes à distance à l’aide de son téléphone ? Le même film donne aussi l’occasion à 007 de chevaucher une moto, la BMW R 1200 C, dans une scène de poursuite à couper le souffle, après une première en voiture où pas moins de dix-sept 750iL ont été fournies à la production pour le tournage… Mais rien n'est trop beau pour James l’accord avec la firme allemande prend fin après LE MONDE NE SUFFIT PAS Michael Apted, 1999, où Bond revient à une décapotable en conduisant une BMW Z8 factice, le modèle n’étant pas encore disponible à la sortie du film. Ce roadster connaît un funeste destin dans le long-métrage, mais cela n’empêche pas le coup marketing d’être encore une fois très le choix de la fantaisieOn le disait, le Bond de Pierce Brosnan n’est pas le premier à avoir fait des infidélités à Aston Martin. Quand Roger Moore succède à Sean Connery en 1973 pour VIVRE ET LAISSER MOURIR 1973, il faut le différencier de son prédécesseur. Nous sommes entrés dans une nouvelle ère, et la décennie 1970 est l’occasion pour Bond d’incarner une vision du cool très différente. Exit donc les Aston Martin, le 007 de Moore se retrouve au volant de voitures souvent étonnantes pour les standards du personnage, mais qui symbolisent à merveille la fantaisie des films Bond de cette époque. L’agent pilote notamment des voitures françaises une Renault à Paris dans DANGEREUSEMENT VÔTRE John Glen, 1985, et surtout une Citroën 2 CV dans une scène de poursuite géniale en compagnie de Carole Bouquet dans RIEN QUE POUR VOS YEUX John Glen, 1981.La seule marque récurrente des années Moore est la Britannique Lotus, qui fournit un modèle Esprit S1 capable de se transformer en sous-marin dans L’ESPION QUI M’AIMAIT Lewis Gilbert, 1977. De loin le véhicule le plus dingue de toute la saga. Et après son inévitable destruction, une version Esprit Turbo rouge cette fois entièrement terrestre apparaît dans RIEN QUE POUR VOS YEUX, mais la collaboration très réussie de la marque avec la franchise s’arrêtera malheureusement là, ouvrant la voie au retour quelques films plus tard du constructeur britannique de choix de Toutes les vidéos cinéma, films et émissions sont disponibles sur myCANAL Suivez Cinéma Canal+ sur Facebook Twitter Instagram
AstonMartin DBS James Bond Au Service Secret de sa Majeste 1/43 (c) Au Service Secret de Sa Majesté Metro Goldwyn Mayer/United Artist L'Aston Martin DBS de James Bond dans le film Au Service Secret de sa Majesté. Base de
Unesérie limitée à 50 exemplaires d’Aston Martin, la DBS Superleggera OHMSS vient fêter les 50 ans du film avec James Bond 007, “Au service secret de sa Majesté”.
21 février 2014 5 21 /02 /février /2014 0829 Le multimillionnaire Michael Dezer mettra en vente son imposante collection d’articles de James Bond, incluant 65 voitures, motos et autres véhicules, de même que de nombreux accessoires tels des affiches et des jouets. Le tout était exposé au musée de monsieur Dezer à Miami. Seul bémol la collection est vendue en un seul et même lot pour 20 millions de livres 24 332 000 euros environs. Si vous aviez 20 millions de livres à dépenser, vous pourriez ainsi vous procurer Dragon Tank Dr. No, Fairey Huntress Bons baisers de Russie, Rolls-Royce Sedanca de Ville Goldfinger, non utilisée dans le film, Lockheed Jetstar Jet Goldfinger, non utilisé dans le film, BSA Lightning motorcycle Opération tonnerre, Toyota 2000GT On ne vit que deux fois, non utilisée dans le film, Little Nellie On ne vit que deux fois, non utilisée pour le film, Aston Martin DBS Au service secret de Sa Majesté Triumph Stag Les diamants sont éternels, Ford Mustang Mach 1 Les diamants sont éternels, Glasdtron GT150 Vivre et laisser mourir, Hors-bord Vivre et laisser mourir, Réplique de l'AMC Hornet L'homme au pistolet d'or, Lotus Esprit S1 L'espion qui m'aimait, Lotus Mould L'espion qui m'aimait, Hélicoptère Shell L'espion qui m'aimait, non utilisé dans le film, Lotus Esprit sous-marine L'espion qui m'aimait, 2 Wetbikes L'espion qui m'aimait, Kawasaki Z900 avec sidecar L'espion qui m'aimait, MP Lafer Moonraker, non utilisée dans le film, Mini Citroën 2CV Rien que pour vos yeux, 2CV Rien que pour vos yeux, Réplique de la 2CV Rien que pour vos yeux, Lotus Esprit Turbo blanche Rien que pour vos yeux, Lotus Esprit Turbo couleur bronze Rien que pour vos yeux, GP Beach Buggy Rien que pour vos yeux 2 Tuk-tuk Octopussy, Réplique de l'Acrostar Octopussy, 2 Renault 11 Dangereusement vôtre, Aston Martin V8 avec skis Tuer n'est pas jouer, Aston Martin V8 Tuer n'est pas jouer, Reef Ranger Mini submarine Permis de tuer. Gaz Volga Goldeneye, Aston Martin DB5 Goldeneye, Russian T55 Tank Goldeneye, 2 Cagiva motorcycle Goldeneye, BMW 750iL Demain ne meurt jamais, 2 BMW R1200 motorcycle Demain ne meurt jamais, Parahaw Le monde ne suffit pas, 2 Q-boat Le monde ne suffit pas, BMW Z8 Le monde ne suffit pas, Lada Riva Le monde ne suffit pas, Ford Thunderbird Meurs un autre jour, non utilisée dans le film, Hovercraft Meurs un autre jour, Skidoo Meurs un autre jour, Jaguar XKR Meurs un autre jour, Aston Martin V12 Vanquish Meurs un autre jour, Land Rover Casino royale, Alfa Romeo 159 Quantum of Solace, 2 Land Rover SkyFall, Audi A5 SkyFall, Aston Martin DB5 avec gadgets Man from UNCLE avec George Lazenby, Une Lotus Esprit de L'espion qui m'aimait Michael Dezer à côté du char de Goldeneye Si toutefois vous étiez intéressé par cette offre, contactez Mr Donovan à l'adresse suivante mayfairmotors Sources Auto123 et Express Images Express Published by
Auservice secret de Sa Majesté (1969) :Aston Martin DBS Les diamants sont éternels (1971) :Aston Martin DBS Tuer n’est pas jouer (1987) : Aston Martin V8 GoldenEye (1995) : Aston Martin DB5 Demain ne meurt jamais (1997) : Aston Martin DB5 Meurs un autre jour (2002) : Aston Martin Vanquish Casino Royale (2006) : Aston Martin DB5 et DBS V12ASTON-MARTIN DBS Vantage - 1970 ENGLISH SUMMARY La voiture mise en vente vendue neuve en Suisse, à présent en carte grise française, même propriétaire depuis 1992. La marque et le modèle. Aston-Martin est une des plus prestigieuses marques automobiles au monde. Pour certains, "il n'y a rien au-delà". Aston-Martin réunit dans ses automobiles à la fois la classe et la distinction absolues et l'esprit de compétition sur laquelle se fonde l'identité du constructeur depuis le début du siècle. Avec peu de moyens, la marque remporta les 24 heures du Mans en 1959 - un doublé devant quatre Ferrari ! - , sommet d'une histoire sportive exceptionnelle. Les Grand-Tourisme de la marque, de la DB1 à la DBS, bénéficient depuis d'une réputation extraordinaire et justifiée. Le rachat d'Aston-Martin par Ford, et l'arrêt de la fabrication à Newport-Pagnell ont renforcé encore le caractère rare, exclusif et recherché des modèles classiques, plus rares que les Bugatti, fabriquées pendant la période historique où David Brown dirigeait la marque. Une DBR1 à moteur 6-cylindres en ligne remporte les 24 H. du Mans 1959 ici l'équipage Moss-Fairman L'appellation "Vantage", tradition Aston-Martin depuis quarante ans, désigne des automobiles "encore plus Aston-Martin" que les autres. Dès 1961 la DB4 Vantage se distinguait par 10% de puissance supplémentaire. Pour l'ultime DB, la DBS, la puissance passe de 285 à 325 chevaux grâces aux 3 double carburateurs Weber et à un taux de compression supérieur. Les moteurs 6 cylindres double arbre de toutes les Aston-Martin entre 1949 et 1972 sont issus du premier 2,6 litres dessiné par Bentley en personne, lequel a rejoint Brown au moment du rachat de Lagonda. C'est cette architecture mécanique de haute lignée qui emmènera Caroll Shelby et Roy Salvadori à la victoire au Mans en 1959. La DBS est la dernière Aston-Martin six-cylindres conçue par le légendaire David Brown lui-même juste avant qu'il doive se résoudre à vendre sa société, financièrement aux dernières extrémités, mais techniquement à son apogée. Ce pur-sang qu'est la DBS Vantage n'a été construit qu'en 296 exemplaires dont seulement 72 en conduite à gauche. La première série - à laquelle appartient la voiture mise en vente - est la plus légère de forme et la plus élégante, car ses bas de caisse en acier inox sont moins hauts, et les éléments de carénage avant et arrière sont moins prononcés que sur la seconde série. Ces différences sont mineures mais importent évidemment pour les esthètes que sont les amateurs d'Aston-Martin. Les modèles ultérieurs V8 n'auront pas cette aura romantique ni cette grâce unique. Son dessin, dû à l'architecte William Towns qui signa aussi la géniale Lagonda, est un miracle de proportions parfaites et d'équilibre entre la modernité de la fin du XXème siècle et la tradition noble et racée des sportives anglaises des années cinquante. Son style n'a fait que se bonifier depuis.. quarante ans. La voiture proposée à la vente. Cette somptueuse DBS Vantage a été vendue neuve en Suisse le 23 Mars 1970. Elle a eu depuis trois autres propriétaires, dont le dernier la possédait depuis 1992. Elle est finie dans le célèbre coloris Silver Birch, celui des Aston-Martin de James Bond la fameuse DB5, mais aussi la DBS de "Au Service Secret de Sa Majesté", avec sellerie en cuir noir et moquettes Wilton noires protégées par des sur-moquettes usine portant le sigle de la marque. L'entretien a été très suivi comme en témoigne le dossier de maintenance, comportant même le manuel d'utilisation et la fiche de sortie d'usine. En 2003, la peinture a été entièrement refaite depuis le métal nu, bien entendu dans la couleur d'origine, avec protection anticorrosion, et en déposant les vitrages, accessoires et joints comme il se doit. Par la même occasion, les bas de caisse et leurs garnitures inox ont été refaits également. Les joints, y-compris joints de pare-brise et glace arrière, sont neufs. Un certain nombre d'autres travaux a été exécuté, notamment l'installation d'un kit usine d'amortisseurs arrières télescopiques Koni en lieu et place des modèles à friction du système original, qui était bien moins efficace comme le savent les propriétaires de DBS. Les amortisseurs avant sont aussi de Koni. L'échappement est en inox, les carburateurs ont été révisés, la pompe à essence remplacée, les freins ont été également refaits ainsi que l'embrayage maître cylindre inclus. Un allumage électronique a été mis en place, une modification réversible qui diminue la consommation et assure une carburation optimale. D'autres travaux d'entretien et de remise à neuf ont été effectués, parmi lesquels bobine et fils de bougies neufs, boîtiers de fusibles et démarreur neufs, isolation phonique et calorique supplémentaire et invisible. Tous les travaux ont bien sûr été faits dans règles de l'art, supervisés par un propriétaire amoureux des belles automobiles. Un modèle aussi rare mérite le plus grand soin. Une classe folle, des lignes d'une pureté sublime, qu'on ne rencontre plus dans les fabrications modernes. Une Aston-Martin classique était faite entièrement à la main. Le cuir est en très bon état d'origine, comme on le voit sur les photos - la console et les panneaux de portières on été revêtus de cuir neuf. Tous les instruments fonctionnent évidemment, montre de bord incluse. La voiture est inscrite l' Aston-Martin Oweners Club Register depuis 1992. Elle a participé à différentes manifestations d'automobiles historiques, y compris Le Mans Classique. Nous avons conduit cette DBS Vantage sur plus de 400 km, encombrements parisiens compris son comportement est irréprochable. Elle est donc exceptionnelle, d'abord comme modèle historiquement essentiel et extrêmement rare ; elle fait évidemment partie des chefs-d'oeuvre automobiles classiques par sa beauté, son six-cylindres légendaire issu des travaux d'Ownen Bentley ; enfin son état mécanique et de présentation est simplement splendide. Elle est disponible à la vente et visible à Paris sur rendez-vous. Prix [OPTION]
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AuService Secret De Sa Majesté 1969 Action/aventure, Drame, Thriller 2 h 22 min. Audio en Français. Non classé. James Bond tente d'éviter la propagation d'un virus mortel. 11,99 € SD HD HD sélectionné(e) Acheter. Lecture impossible sur cet appareil. Vérifiez la configuration requise. Au Service Secret De Sa Majesté. 11,99 € Acheter. Présentation Touing réalisera deux prototypes de DBS appelés ultérieurement DBSC finalement non retenus Dès 1963, David Brown, propriétaire de la firme Aston Martin depuis 1947, réfléchissait à l’opportunité de produire une voiture à moteur V8. Il demanda donc à Tadek Marek de lancer l’étude d’un tel moteur tandis qu’Aston Martin se lançait dans le projet d’un coupé 2 portes 4 places qui viendrait se positionner au dessus de la DB6 lancée en 1965. Mais le mauvais démarrage de la DB6 inquiétait Brown, qui demanda alors à ses équipes ainsi qu’au carrossier Touring de plancher sur une remplaçante. Il fallait impérativement sortir une voiture d’allure moderne quand la DB6, au style très proche de la DB5, semblait dépassée. Comparée à la DB6 contemporaine, la DBS propose un design beaucoup plus moderne signé William Towns notez les roues à rayons caractérisant les DBS L6 Deux prototypes furent réalisés sur la base des dessins de Touring et des châssis de DB6 afin de tester les réactions du public aux salons de Londres, Paris et Turin 1966. Malgré tout l’intérêt de ces deux modèles, personne n’est réellement satisfait ni les visiteurs, ni David Brown lui-même. Touring, alors en difficulté financière, semblait peu propice à réaliser une voiture marquante pour Aston Martin, et Brown préféra faire appel à un nouveau designer plus à même de comprendre ses attentes William Towns, tout juste arrivé chez Aston en provenance de chez Rover. Des prototypes Touring, il ne restera donc que le nom, DBS ceux-ci devenant a posteriori DBSC pour éviter toute confusion. Mais il fallait travailler dans l’urgence car la nouvelle voiture devait être prête pour le Salon de Londres d’octobre 1967. Partant d’une feuille blanche, Towns allait s’acharner à dessiner un gros coupé bourgeois 4 places, au style résolument moderne, aux lignes tendues, et aux allures de coupé fastback américain cette dernière observations n’est pas anodine, car David Brown, avec la DBS dotée d’un V8, comptait bien attaquer le marché américain. Mais pour le V8, il faudra attendre. En cette année 1967, il fallait se rendre à l’évidence, le moteur conçu par Marek n’était pas prêt. Testé en compétition, celui-ci avait cassé dès le premier tour. Pour fiabiliser ce nouveau bloc, il fallait du temps. David Brown décida alors de changer de fusil d’épaule en attendant que le V8 soit opérationnel, les DBS récupéreraient le fameux 6 en ligne de la DB6. Paradoxalement, dans sa configuration de base 282 chevaux, 4 litres, la DBS plus grosse et plus lourde s’avérait moins performante que la DB6 toujours produite jusqu’en 1970. Certes, Aston Martin s’était engagé volontairement dans le monde du Grand Tourisme plus que du sport, mais il restait une clientèle attachée à la performance. Aussi, on proposa dès le lancement de la DBS une option Vantage permettant, grâce à 3 carburateurs Weber double corps, de faire passer la puissance à 325 chevaux non disponible aux USA pour des raisons de normes. En moins d’un an, le premier prototype de la DBS fut réalisé, et put être présenté à la presse le 25 septembre 1967 au Blenheim Palace puis au Salon de Londres. Cette fois-ci, l’enthousiasme était présent, et la DBS tranchait sérieusement avec la DB6 au style daté. La production artisanale, luxueuse et, comme il se doit, à la main pouvait commencer réellement en 1968. La DBS se voyait accompagnée dans la gamme par la DB6 jusqu’à l’arrivée de la version V8. A cette date, elle en devenait le véritable successeur. En effet, la DBS 6 cylindres, malgré deux cylindres en moins, s’offrait des performances supérieures en version Vantage à la V8, pour 200 kg de moins, devenant d’une certaine manière plus équilibrée. La V8, elle, offrait, offrait un autre plaisir du couple, et une conduite finalement plus souple et bourgeoise que le L6 Vantage. La DBS, malgré son design plaisant et un certain succès d’estime ou populaire, ne sera pourtant pas un succès. Alors qu’entre 1965 et 1970, la DB6 se vendait à 1967 exemplaires, la DBS 6 cylindres fut produite entre fin 1967 et mi 1972 à seulement 802 exemplaires. Prix, concurrence interne, performance en retrait, ou positionnement plus GT, autant de raisons qui firent de la DBS un relatif échec. Bien sûr, il faut ajouter à cela les 402 exemplaires de la version V8 entre fin 69 et 1972, et pour relativiser l’échec », la DBS sera suivi d’évolution la menant jusqu’au coupé Virage lire aussi Aston Martin Virage lui-même largement inspiré de la DBS. En fait, entre la vente d’Aston Martin par David Brown en 1972 et le rachat par Ford en 1987, la DBS et ses dérivés/évolutions permettront à Aston Martin de tenir » le coup. La DBS L6 de Brett Sinclair Bahama Yellow », aux roues de V8 La DBS aura marqué les esprits aussi par sa présence dans un certain nombre de séries ou du films. Bien entendu, James Bond Georges Lazenby eut droit à sa DBS 6 cylindres dans Au service secret de sa majesté » sorti en 1969. De même, on apercevra dans un épisode de Chapeau Melon et Bottes de cuir » tourné en 1968 le tout premier châssis hors prototypes de la DBS. Enfin, la plus iconique de toutes les DBS restera sans doute celle de Brett Sinclair Roger Moore dans Amicalement Vôtre ». Mais avec cette dernière, il y a un piège car si cette dernière ressemble à une V8, il s’agit bien d’une 6 cylindres habilement camouflée » dotée de sa peinture si particulière Bahama Yellow ». Dans la série, elle illustrait à merveille la classe et la distinction de Roger Moore quand la Dino 246 GT lire aussi Dino 246 GT représentait l’impulsivité et l’intrépidité de Tony Curtiss. L’Aston Martin DBS Estate, réalisée par FLM Panecraft, produite à une seule unité Au chapitre des DBS particulières », on trouve aussi un unique exemplaire d’une version shooting brake » dénommée Estate. Il ne s’agissait pas d’une production de Newport Pagnell lire aussi l’histoire de Newport Pagnell mais d’une commande spécifique auprès du carrossier FLM Panelcraft cette version restera unique tant la transformation coûtait cher 2 fois le prix de la voiture neuve, déjà chère. Enfin, Paul Banham réalisera durant les années 70 environ 6 transformations de DBS 6 cylindres en version cabriolet. Pour tout connaître sur la DBS, je vous recommande la lecture de l’excellent site DBS Vantage CARACTERISTIQUES TECHNIQUES Motorisation Moteur 6 cylindres en ligne Cylindrée 3995 cc Alimentation 3 carburateurs SU HD8 ou Weber double corps Vantage Puissance 282 ch ou 325 ch Vantage SAE à 5750 tours / minutes Couple 40,1 mkg à 4500 tours / minute Transmission Roues motrices Propulsion Boîte de vitesses Manuelle à 5 rapports ou automatique à 3 rapports Dimensions Longueur 4585 mm Largeur 1830 mm Hauteur 1322 mm Poids à vide 1651 kg Performances Vitesse maxi 225 km/h Production 802 exemplaires 1967-1972 Tarif Cote moyenne 2018 De 110 000 à 180 000 euros VantageNoTime to Die, c'est le nom du film, sera le dernier où l'agent secret sera joué par Daniel Craig, et on pourra y trouver pas moins de quatre Aston Martin différentes.La DB5 avait déjà été confirmée comme faisant une apparition dans ce volet de la saga, tout comme la V8 Vantage, qui a fait sa dernière apparition dans un James Bond en 1987, dans Tuer n'est pas jouer.Voitures au 1/18Référence toutes mes miniatures au 1/18e. Actualité du monde des miniatures 1/18e Accueil Contact Publié le 9 février 2007 par nonogeddonUnecourte vidéo montre le meilleur agent de Sa gracieuse Majesté au volant de sa fameuse Aston Martin, pourchassé par de terribles tueurs à gages. VIDÉOS - Au service secret de Sa Majesté On Her Majesty's Secret Service est un film britannique réalisé par Peter Hunt en 1969. Affiche du film C'est le sixième opus de la série des films de James Bond, dont le scénario est directement inspiré du roman de même nom, publié par Ian Fleming en 1963. Synopsis[] En parfait gentleman, James Bond empêche une superbe créature de se suicider et tombe amoureux d'elle. La jeune femme n'est autre que la fille d'un des parrains les plus puissants de la mafia corse. Parallèlement, 007 doit arrêter son plus grand ennemi, Ernst Stavro Blofeld, bien décidé à propager un virus capable de stériliser l'humanité. Fiche technique[] Titre français Au service secret de Sa Majesté Titre original On Her Majesty's Secret Service Réalisation Peter Hunt Scénario Richard Maibaum, d'après le roman éponyme de Ian Fleming Musique John Barry, We Have All the Time in the World chanté par Louis Armstrong Production Harry Saltzman et Albert R. Broccoli Sociétés de production EON Productions avec la participation de Danjaq Société de distribution United Artists Pays d'origine Royaume-Uni Durée 136 minutes Dates de sortie en salles Royaume-Uni 18 décembre 1969 première mondiale à Londres États-Unis 18 décembre 1969 France 19 décembre 1969 Staff français[] Société de doublage Société Parisienne de Sonorisation SPS Direction artistique Gérald Castrix Adaptation de dialogues Charles Dorat Distribution[] George Lazenby VF Jean-Claude Michel / Thibault de Montalembert James Bond 007 Diana Rigg VF Régine Blaess / Jeanne Savary Comtesse Teresa Tracy » di Vincenzo Telly Savalas VF Jean Michaud / Bernard Métraux Ernst Stavro Blofeld no 1 et leader du SPECTRE Gabriele Ferzetti VO David de Keyser / VF William Sabatier / Georges Claisse Marc-Ange Draco Ilse Steppat VF Jacqueline Morane / Yvette Petit Fräulein Irma Bunt Angela Scoular VF Francine Lainé Ruby Bartlett, l'ange anglais Catherina von Schell Nancy, l'ange hongrois Lois Maxwell VF Paule Emanuele Miss Moneypenny George Baker VF René Bériard Sir Hilary Bray Bernard Lee VF Fernand Fabrec M » Bernard Horsfall VF Dimitri Rataud Shaun Campbell, agent du MI6 Desmond Llewelyn VF Georges Hubert Q » Yuri Borienko VF Hans Verner Grunther Virginia North Olympe Geoffrey Cheshire VF Daniel Gall Toussaint, un homme de Draco Irvin Allen Che-Che, un homme de Draco Terence Mountain VF Bachir Touré Raphael pré-générique James Bree Gebrüder Gumbold John Gay Hammond, le majordome de M » Julie Ege Helen, l'ange scandinave Mona Chong l'ange chinois Sylvana Henriques l'ange jamaïcain Dani Sheridan l'ange américain Joanna Lumley le second ange anglais Zara l'ange indien Anouska Hempel l'ange australien Ingrid Back l'ange allemand Helena Ronee l'ange israélien Jenny Hanley l'ange irlandais Brian Worth Manuel, le directeur de l’hôtel non crédité George Lane Cooper Braun, un garde du Piz Gloria non crédité Leslie Crawford Felsen, un garde du Piz Gloria non crédité Joseph Vasa Josef, le réceptionniste du Piz Gloria non crédité Bill Morgan Kleff, un homme de Draco non crédité Brian Grellis Phidian, l'adjoint de Sir Hilary Bray non crédité [] Lors de sa sortie en Blu-Ray, le film a été enrichi de nouvelles scènes. De ce fait, celles-ci comportent un doublage partiel.
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Maisle plus célèbre des agents au service secret de sa Majesté ne se contente pas de faire plaisir à Sony. Il démarche tous azimuts pour Les modèles les plus puissants , les plus performants ou les plus emblématiques du constructeur automobile ASTON MARTIN Créée en 1913 par Lionel Martin et Robert Bamford , Aston Martin est une marque de voitures anglaise , de voitures de luxe et de voitures de course . Depuis 2007 , elle est devenue une filiale de la société anglaise Prodrive , spécialisée dans la préparation automobile et le sport automobile. La marque Aston Martin provient du nom de son créateur Lionel Martin et de la course de côte d’Aston Clinton, qu’il remporta en 1913 . L’emblème ailé, introduit en 1932 , a pour origine Khépri Le soleil en devenir , entité de la mythologie égyptienne associée au soleil et à la renaissance , symbolisé par un scarabée … Les voitures de la marque Aston Martin et James Bond une histroire d’amour qui dure ! Goldfinger 1964 Aston Martin DB5 Opération Tonnerre 1965 Aston Martin DB5 Au service secret de Sa Majesté 1969 Aston Martin DBS Les diamants sont éternels 1971 Aston Martin DBS Tuer n’est pas jouer 1987 Aston Martin V8 GoldenEye 1995 Aston Martin DB5 Demain ne meurt jamais 1997 Aston Martin DB5 Meurs un autre jour 2002 Aston Martin Vanquish Casino Royale 2006 Aston Martin DB5 et DBS V12 Quantum of Solace 2008 Aston Martin DBS V12 Skyfall 2012 Aston Martin DB5 James Bond 24 2015 Aston Martin Vanquish II Aston Martin DBS V12 Puissance 517 ch à 6500 tr/min Vitesse 309 km/h Propulsion 12 Cylindres 6 rapports
AstonMartin DBS Au Service Secret de Sa Majesté (1969) Pas beaucoup de gadgets pour cette deuxième Aston Martin de l'histoire de James Bond. C'est elle qui verra mourir Tracy (Diana Rigg), la
L’automobile de luxe, l’autre péché mignon de 007 Contrairement à ce que prétend la légende, James Bond ne roule pas qu'en Aston Martin, bien qu'il privilégie tout de même les marques de sa Gracieuse Majesté Bentley, Triumph, Lotus. Quelques voitures françaises ont même eu ses faveurs dans les années 80, avant qu'il ne trouve son bonheur avec BMW puis revienne, depuis, à ses premières amours. En 22 films sortis en 50 ans, l'espion le plus célèbre du monde a conduit les plus beaux cabriolets et voitures de sport de Grande-Bretagne. My name is Martin, Aston Martin L'Aston Martin DB5 est sans le moindre doute l'automobile la plus associée à l'agent 007. James Bond l'a conduite dans plusieurs films dont Goldfinger, Opération Tonnerre et GoldenEye. Ce modèle très spécial dispose d'un pare-brise, de vitres latérales et d'une lunette arrière à épreuve des balles, d'une plaque d'immatriculation modulable, d'un radar incorporé au tableau de bord et est équipée d'armes telles qu'une mitraillette ou encore un lanceur d'eau. Enfin, la DB5 dispose d'un siège éjectable, à actionner depuis le levier de changement de vitesse, si nécessaire. Fidèle à Aston Martin, Bond a également eu le plaisir de prendre place à bord de plusieurs DBS de différentes générations, que ce soit dans Au service secret de Sa Majesté ou, plus récemment, dans Casino Royale et Quantum of Solace. Dans Tuer n'est pas jouer, c'est une V8 Volante suréquipée rayon laser, lance-missiles, skis rétractables, etc. qu'il a l'honneur de conduire. Enfin, dans Meurs un autre Jour, James Bond se retrouve aux commandes d'une Aston Martin V12 Vanquish, disposant elle-aussi d'un siège éjectable mais surtout, qui a la particularité de pouvoir devenir totalement invisible. Cabriolets et voitures sportives à l’honneur Lorsqu'il ne monte pas dans une Aston Martin, James Bond privilégie tout de même les décapotables et les sportives britanniques. Historiquement, le premier modèle dans lequel il crève l'écran est d'ailleurs un cabriolet Sunbeam Alpine II, sur les routes de Jamaïque, dans James Bond 007 contre Dr. No. De son côté, la Lotus Esprit S1 est sans doute l'une des voitures les plus spectaculaires qu'il a eu le privilège de piloter, dans L'Espion qui m'aimait. Elle a en effet la particularité de pouvoir se transformer en véhicule amphibie et de plonger à plus de 10m de profondeur. Quelques années plus tard, il pilotera une Lotus Esprit Turbo dans Rien que pour vos yeux. Il est aussi possible de voir James Bond au volant d'une Triumph Stag Roadster dans Les Diamants sont éternels. Un petit tour chez BMW… et en 2CV ! Il est aussi arrivé que James Bond fasse quelques infidélités à ses Anglaises préférées, comme à la fin des années 90, lorsqu'il leur a préféré les BMW Z3 dans GoldenEye, 750li pour Demain ne meurt jamais et Z8 à l'occasion du Monde ne suffit pas. Plus récemment, dans Casino Royale, il a pris les commandes d'une Ford Mondeo. En 50 ans, James Bond a en revanche très peu de fois roulé français. Cela a été le cas en 1981, lorsqu'il se retrouve au milieu d'une course poursuite, dans Rien que pour vos yeux, au volant d'une modeste Citroën 2CV. Dans Dangereusement vôtre, il s'empare cette fois d'un taxi Renault 11, qui finira sa course littéralement coupé en deux.
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