Jecomprends moyennement le truc de champ gravitationnel, mais pourquoi les cailloux de merde de ne se mettent pas en orbite comme le trĂšs trĂšs - Topic [DESCO ULTIME] Pourquoi la LUNE tombe pas Saviez-vous que sans la Lune, la vie telle qu'elle existe sur Terre serait impossible ? De par sa fonction stabilisatrice, elle garantit Ă  la Terre un ensoleillement suffisant. De par sa force de gravitation, elle provoque le mouvement des marĂ©es, qui a permis aux premiers organismes vivants de passer peu Ă  peu de l'eau Ă  la terre ferme. De par la rĂ©gularitĂ© de ses passages et des formes qu'elle prend dans le ciel, elle a permis Ă  l'homme d'acquĂ©rir la notion du histoire mĂ©connue de la Lune comme source de la vie sur Terre, c'est celle Ă  laquelle a choisi de s'attaquer en 2013 le rĂ©alisateur François de Riberolles. Avec Ă  la clĂ© un film unique, Ă  mi chemin entre le conte mythique et le documentaire scientifique, dont nous diffusons ici les premiers extraits exclusifs, avant sa diffusion, lundi 16 mars, quatre jours avant l'Ă©clipse, sur PlanĂšte +.Sang-mĂȘlĂ©Lune» dĂ©marre dans l'espace, lĂ  oĂč tout Ă  commencĂ© alors que l'Univers n'Ă©tait qu'un nourrisson et la Terre une protoplanĂšte. Par un beau jour de l'an 4,5 milliards avant un objet de la taille de Mars, nommĂ© Théïa est ainsi entrĂ© en collision avec la Terre, Ă  40 000 km/h. Le choc fut cataclysmique...et en lui-mĂȘme a tout d'abord eu une influence considĂ©rable sur la Terre, sur laquelle le film, consacrĂ© Ă  la Lune, ne revient pas en absorbant une partie de Théïa, la Terre a vu son noyau se renforcer, poussant la roche en fusion Ă  remonter vers la croĂ»te terrestre et mĂȘme Ă  la percer, crĂ©ant de gigantesques Ă©ruptions qui ont libĂ©rĂ© de nombreux gaz essentiels Ă  la constitution et au rĂ©chauffement de notre atmosphĂšre. Ensuite, l'absorbtion de Théïa par la Terre a Ă©galement augmentĂ© la gravitĂ© terrestre, pensent les scientifiques, ce qui a permis de mieux retenir les gaz dans notre atmosphĂšre. Et qui dit atmosphĂšre plus dense dit enveloppe protectrice contre les mĂ©tĂ©orites ...Mais la consĂ©quence principale de cette collision phĂ©nomĂ©nale est autre l'impact a en effet Ă©jectĂ© une Ă©norme quantitĂ© de matiĂšre - des morceaux de ThĂ©ia mais aussi du manteau terrestre - dans l'espace, ce qui a rapidement créé un anneau de dĂ©bris en orbite autour de la Terre. Au fur et Ă  mesure des annĂ©es, cet anneau de dĂ©bris s'est agrĂ©gĂ©, pour crĂ©er la Lune, comme le montre cet Extrait de Lune» l'impact initialCe satellite, qui Ă©tait donc Ă  ses dĂ©buts trĂšs proche de la Terre, a longtemps agi comme un bouclier contre les comĂštes et autres objets cĂ©lestes, notamment lors du grand bombardement tardif survenu il y a 4 milliards d'annĂ©es. Mais son influence sur la jeune planĂšte Terre ne s'arrĂȘte pas lĂ  on estime que la gravitĂ© exercĂ©e par la Lune a Ă©galement suscitĂ© beaucoup d'activitĂ© sismique sous la croĂ»te terrestre. Aujourd'hui, elle est trop loin pour provoquer la moindre Ă©ruption, mais elle continue de faire lentement bouger la croĂ»te terrestre... et les ocĂ©ans, crĂ©ant ainsi le va -et-vient des marĂ©es. Enfin, l'attraction que les deux corps subissent l'un sur l'autre permet de stabiliser la Terre, et de lui permettre l'ensoleillement nĂ©cessaire Ă  la vie. Sans le contre-poids» qu'est la Lune, la Terre serait beaucoup moins stable sur son axe, et tournerait de façon bien plus Lune, source de viePlongeons dĂ©sormais avec François de Riberolles dans les fonds sous-marins, la oĂč la vie est apparue, il y a plus d'1,3 milliards d'annĂ©es. Les premiers organismes unicellulaires sont en effet nĂ©s dans les ocĂ©ans malmenĂ©s par la Lune, qui, bien plus proche de la Terre qu'elle ne l'est aujourd'hui, soulevait Ă  l'Ă©poque des vagues gigantesques. Son Ă©loignement progressif, et la rĂ©gularitĂ© de ses passages dans le ciel, ont donnĂ© le tempo du dĂ©veloppement des tous premiers ĂȘtres vivants. Mais la Lune a fait plus que-ça, raconte le film, qui se fait documentaire animalier le temps d'une courte dĂ©monstration elle a permis au monde animal de coloniser la Terre ! Comme l'explique l'extrait-ci-dessous, le va et vient de la marĂ©e sur les plages a créé peu Ă  peu une zone de transition, sur laquelle ont commencĂ© Ă  se dĂ©velopper des animaux capables de vivre dans l'eau, mais Ă©galement Ă  l'air Extrait de Lune» le dĂ©veloppement des espĂšcesSuite Ă  ce petit coup de pouce lunaire, l'Ă©volution suivra son cours Ă  ces Ă©tranges crĂ©atures, succĂ©deront les insectes, les reptiles, puis les dinosaures, les mammifĂšres, et, il y a 4 millions d'annĂ©es, les premiers ancĂȘtres de l'homme. L'homme, qui comme l'explique le film de François de Riberolles, va s'aider de la Lune pour survivre dans l'obscuritĂ©, Ă  une Ă©poque oĂč les lions, chasseurs nocturnes, font la loi !VIDEO. Extrait de Lune». La naissance de la peur du noir»Durant toute son Ă©volution, l'homme a ainsi pu compter sur la Lune pour Ă©clairer ses nuits...et sa lanterne ! En plus d'aider la Terre Ă  devenir Terre, et de protĂ©ger le dĂ©veloppement de la vie, la Lune a en effet apportĂ© aux hommes les clĂ©s pour comprendre la nature qui l'entourait, pour donner un sens au chaos». Sa rĂ©surrection chaque nuit est devenu le premier signe identifiable du temps qui passe, et la rĂ©gularitĂ© de son cycle a permis Ă  l'homme de commencer Ă  compter...Lune», de François de Riberolles, produit par CamĂ©ra Lucida, une production originale de PlanĂšte +, qui la diffusera lundi 16 mars et vendredi 20 mars Ă  20h45 Cebeau rendez-vous est observable pratiquement partout sur Terre – de prĂšs de 55° de latitude nord Ă  55° de latitude sud – entre une heure et
Si elle est attirĂ©e par la Terre, pourquoi elle tombe pas? Elle tombe tout le temps sur la Terre Jean-Desco Car elle attire aussi la terre, de ce fait il s'agit de deux forces qui s'opposent. Parce que c'est un hologrameElle tomberait dans l'espace sinon Le 17 juin 2016 Ă  154942 haku2b a Ă©crit Car elle attire aussi la terre, de ce fait il s'agit de deux forces qui s' dans ce cas pourquoi nous on tombe pas sur la Lune ? Parce qu'on est pas dans Majora's Mask. Elle se dĂ©place tellement vite et vu que la terre se dĂ©place aussi au moment de chute elle la loupe et c'est ce qu'on appelle une orbite La Lune s'Ă©loigne de la Terre. Parce que la Terre tombe aussi dans le vide, Ă  la mĂȘme vitesse heureusement. Du coup la Lune ne fait que nous suivre. la lune n'existe pas , c'est une invention amĂ©ricaine , pour dire que ce sont eux qui sont aller premier sur la lunela lune que vous voyez est une Ă©norme image qu'on a mis dans le ciel Atlas la porte C'est des aimants quand tu met les 2 mĂȘmes pĂŽles face a face il se repousse bah la c'est pareil Elle tombe comme dons zelda mais plus lentement en fait genre 100000000 ans j'crois +1 vdd Parcontre y'a quelque chose qui va tomber dans la bouche de ta mĂšre ce soir ça surement un asteroid de bite l'auteur Le 17 juin 2016 Ă  155040 AssWeCan a Ă©crit Elle se dĂ©place tellement vite et vu que la terre se dĂ©place aussi au moment de chute elle la loupe et c'est ce qu'on appelle une orbite Donc ca fait 10 milliards d'annĂ©es que la Lune nous "rate" par chance, et on est censĂ©s gober ca ? Elle tombe et remonte dans le ciel tout le monde le sait Elle est tractĂ©e par la pyramide inversĂ©e qui lĂ©vite au dessus de la face cachĂ©e Point de Lagrange

Vousvous demandez peut-ĂȘtre pourquoi la Lune ne tombe pas sur Terre comme le ferait une pomme depuis un arbre. C’est parce que la Lune n’est jamais immobile : elle est constamment en mouvement autour de la Terre.

Le marteau? Logiquement, un objet plus massif devrait tomber plus rapidement qu'un lĂ©ger! Non?» C'est une vieille question que l'Homme se pose depuis bien longtemps. Pour les scientifiques» de l'AntiquitĂ©, c'est le marteau qui arrive au sol bien avant! Aristote pensait que plus une boule Ă©tait massive, plus elle tombait vite une boule de fer tombera 100 fois plus rapidement qu'une autre boule 100 fois plus lĂ©gĂšre». Mais, avait-il raison? GalilĂ©e, sceptique, mit Ă  l'Ă©preuve la thĂ©orie d'Aristote grĂące Ă  l'expĂ©rience de la tour de Pise. D'aprĂšs la lĂ©gende le savant aurait jetĂ© simultanĂ©ment, du dernier Ă©tage de la tour, deux boules de fer dont l'une avait une masse 100 fois supĂ©rieure Ă  l'autre. Il aurait constatĂ© avec Ă©tonnement que les deux boules arrivaient au sol quasiment en mĂȘme temps n'ayant qu'un dĂ©calage d'environ 2 doigts»! Bien loin de ce que prĂ©voyait la thĂ©orie d'Aristote! GalilĂ©e conclut que tous les corps, peu importe leur masse, tombent Ă  la mĂȘme vitesse. Les dĂ©calages observĂ©s ne seraient dus qu'Ă  la rĂ©sistance de l'air. Alors, sur la Lune, lĂ  oĂč il n'y a pas d'air, la plume et le marteau tombent en mĂȘme temps?» Exactement! L'expĂ©rience a Ă©tĂ© tentĂ©e il y a presqu'exactement 42 ans. Au mois de juillet 1971, la mission Apollo 15 prenait son envol vers la Lune. Le commandant de la mission, David Scott, est reconnu comme Ă©tant le premier automobiliste lunaire», mais aussi pour ĂȘtre le premier Ă  rĂ©aliser une expĂ©rience pĂ©dagogique en direct de notre satellite naturel. À la surface de la Lune, il lĂącha un marteau 1,32kg et une plume de faucon 0,03kg simultanĂ©ment de la mĂȘme hauteur vidĂ©o. Il dĂ©montra, comme le pensait GalilĂ©e, qu’en l’absence d’atmosphĂšre, la gravitĂ© agit de façon Ă©gale sur tous les corps! Ce phĂ©nomĂšne est le Principe d’équivalence» la gravitĂ© accĂ©lĂšre de la mĂȘme façon tous les objets, quelle que soit leur masse ou le matĂ©riau dont ils sont faits. Ce principe est une pierre angulaire de la physique moderne. Une multitude d'expĂ©riences l'ont testĂ© avec des prĂ©cisions impressionnantes et ce principe est, jusqu'Ă  maintenant, toujours respectĂ©. Plusieurs tentent cependant de vĂ©rifier l'exactitude du principe d'Ă©quivalence avec toujours plus de prĂ©cision. AprĂšs tout, peut-ĂȘtre y a-t-il une infime diffĂ©rence entre deux corps qui tombent, tellement infime qu'il nous Ă©tait jusqu'Ă  maintenant impossible de la dĂ©celer, n'ayant pas la prĂ©cision nĂ©cessaire pour l'observer. Pour amĂ©liorer l'exactitude des expĂ©riences prĂ©cĂ©dentes, il faut aller dans l'espace, lĂ  oĂč la chute libre est beaucoup moins perturbĂ©e et peut durer beaucoup plus longtemps. Une nouvelle mission spatiale du CNES, MICROSCOPE, testera en 2016 le principe d'Ă©quivalence dans l'espace avec une prĂ©cision du millioniĂšme de milliard. Microscope a pour but de tester le principe d'Ă©quivalence jusqu'Ă  la 15e dĂ©cimale, soit 1000 fois mieux qu'on ne le fait actuellement», prĂ©cise Serge Reynaud, directeur de recherche au Laboratoire Kastler Brossel [1]. L'enjeux est de taille. Un des problĂšmes majeurs de la physique moderne, c'est l'unification de la relativitĂ© gĂ©nĂ©rale [la physique de l'infiniment grand] et de la physique quantique [la physique de l'infiniment petit]. Une solution pour y parvenir est la thĂ©orie des cordes. Or, elle prĂ©voit que le principe d'Ă©quivalence doit ĂȘtre violé», souligne Thibault Damour, de l'Institut des hautes Ă©tudes scientifiques de Bures-sur-Yvette [2]. Donc, si on lĂąche en mĂȘme temps sur la Lune une plume et un marteau, lequel arrive au sol le premier? La rĂ©ponse Ă  la question est donc Les 2 en mĂȘme temps» ... du moins, jusqu'Ă  preuve du contraire! — Laurent Olivier

Lepoint sur les explications qui ont Ă©tĂ© donnĂ©es par les mythes et les savants de diffĂ©rentes civilisations au fait que la Lune ne tombe pas sur la Terre, jusqu'aux dĂ©couvertes d'Isaac Newton et de Robert Hooke au 17e siĂšcle. La classification Dewey aide Ă  trouver les ouvrages dans les rayonnages. A chaque chiffre, un thĂšme, une couleur. Dans le rayon 7 arts, vous trouverez les C’est au XVIIĂšme siĂšcle que Isaac Newton formula sa loi de la gravitation et dĂ©clara Ă  propos de la Lune Elle tombe vers la Terre, mais "rate sa cible" Ă  chaque fois ». En effet, la Lune est attirĂ©e par la terre comme n’importe quel objet, si bien qu’elle se prĂ©cipite dessus. Mais elle est en mĂȘme temps animĂ©e d’un mouvement latĂ©ral, si bien qu’elle la dĂ©passe systĂ©matiquement la planĂšte bleu et dĂ©crit au final un trajectoire curviligne autour d’elle. De fait, attirĂ©e par la Terre comme n’importe quelle "pomme tombant de l’arbre", la Lune n’en fini pas de la rejoindre. Oui, mais voilĂ  elle est Ă©galement animĂ©e d’un mouvement initial, perpendiculaire Ă  la direction Terre-Lune, qui lui fait rater sa cible Ă©ternellement
 Pour comprendre, prenons l’exemple d’une bille dans une cuvette au fond arrondi. En la lĂąchant, elle tomberait et passerait par le milieu de la cuvette, remonterait puis redescendrait etc.
 Due aux forces de la rĂ©sistance de l’air et aux irrĂ©gularitĂ©s du sol elle finira par s’arrĂȘter mais la Lune ne se frotte n’y a l’air n’y Ă  quoi que se soit qui puisse la ralentir et continue donc le mouvement indĂ©finiment. Imaginons maintenant que l’on ait imprimĂ© a la bille une lĂ©gĂšre impulsion latĂ©rale. Elle glissera vers le fond mais en biais; son trajet s’écarte lĂ©gĂšrement du centre de la cuvette. La bille dĂ©crit ainsi une courbe fermĂ©e, une ellipse autour du centre. C’est en quelque sorte ce qui arrive Ă  la Lune si on imagine que la Terre est placĂ©e au centre de la cuvette. Ewan Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous Commentaires RĂ©ponseoriginale : Pourquoi la Lune ne tombe-t-elle pas sur Terre ? Parce qu'elle tourne autour. La rotation de la lune autour de la terre l'Ă©loigne de la terre. Mais la gravitĂ© l'empĂȘche de s'Ă©loigner trop vite. La terre ne tombe pas sur le soleil pour la mĂȘme raison. 1 Michael Aramini

ï»żTable des matiĂšres1 Est-ce que la Lune tombe sur la Terre?2 Qu’est-ce qui se passe si la Terre arrĂȘte de tourner?3 Pourquoi la Lune ne s’éloigne pas de la terre?4 Pourquoi la vitesse de la terre ne diminue pas?5 Est-ce que la Lune peut exploser?6 Est-ce que la Lune est complĂštement dĂ©truite sur la Terre?7 Est-ce que le satellite naturel de la Terre Ă©tait explosĂ© en morceaux?8 Quelle est l’inclinaison de la Terre? Vous vous demandez peut-ĂȘtre pourquoi la Lune ne tombe pas sur Terre comme le ferait une pomme depuis un arbre. C’est parce que la Lune n’est jamais immobile elle est constamment en mouvement autour de la Terre. Sans la force de gravitĂ© de la Terre, la Lune se contenterait de flotter dans l’espace. Qu’est-ce qui se passe si la Terre arrĂȘte de tourner? Le champ magnĂ©tique qui fait office de bouclier en dĂ©viant les particules du vent solaire est lui aussi dĂ©pendant de la rotation de la Terre. Si celle-ci s’arrĂȘtait de tourner, ce champ magnĂ©tique s’évanouirait et nous nous retrouverions exposĂ©s Ă  des radiations mortelles. Pourquoi Dit-on que la Lune tombe sur la Terre? La lune ne tombe pas sur la terre Ă  cause de sa vitesse initiale. La rapiditĂ© avec laquelle elle tourne autour de la Terre lui donne une force dirigĂ©e vers l’extĂ©rieur, que l’on appelle force centrifuge. Les deux forces Ă©tants Ă©gales, la lune ne tombe pas sur la Terre ni ne s’éloigne pas dans l’espace. Pourquoi la Lune ne s’éloigne pas de la terre? Pourquoi la vitesse de la terre ne diminue pas? Ainsi, la France monte et descend chaque jour de 30 Ă  40 cm. Or la lune tourne moins vite que la Terre. Il faut 27,3216 jours pour tourner sur son axe. Le frottement dĂ» aux marĂ©e ralentit donc notre vitesse. Pourquoi la rotation de la Terre ralentit? La rotation de la Terre sur elle-mĂȘme qui dĂ©termine le passage des jours et des nuits, ralentit sur le long terme, Ă  cause principalement des effets d’attraction luni-solaire. De plus, notre planĂšte est perturbĂ©e par ses constituants internes noyau, manteau et externes atmosphĂšre, ocĂ©ans. Est-ce que la Lune peut exploser? L’absence d’atmosphĂšre autour de la Lune la rend vulnĂ©rable Ă  la chute de dĂ©bris rocheux de toutes sortes. Le 17 mars, une mĂ©tĂ©orite d’à peine 40 centimĂštres a provoquĂ© l’explosion la plus forte jamais enregistrĂ©e sur notre satellite naturel. Est-ce que la Lune est complĂštement dĂ©truite sur la Terre? L’attraction gravitationnelle exercĂ©e sur la Terre, elle, serait probablement la mĂȘme qu’avec une lune intacte. Si la lune Ă©tait complĂštement dĂ©truite, sa masse n’aurait plus d’effets sur la gravitĂ© de la Terre. L’un des effets serait que les marĂ©es seraient complĂštement chamboulĂ©es. Quelle est l’origine de la destruction de la Lune? D’abord, il faudrait savoir ce qui est Ă  l’origine de la destruction de la lune. Si le satellite naturel de la terre Ă©tait explosĂ© en morceaux par une collision avec un astĂ©roĂŻde gĂ©ant, par exemple, on pourrait observer des milliers de dĂ©bris flotter dans l’espace et rĂ©flĂ©chir la lumiĂšre du soleil. Est-ce que le satellite naturel de la Terre Ă©tait explosĂ© en morceaux? Si le satellite naturel de la terre Ă©tait explosĂ© en morceaux par une collision avec un astĂ©roĂŻde gĂ©ant, par exemple, on pourrait observer des milliers de dĂ©bris flotter dans l’espace et rĂ©flĂ©chir la lumiĂšre du soleil. Une des premiĂšres consĂ©quences serait que nous ne pourrions plus contempler les phases de la lune dans la nuit. Quelle est l’inclinaison de la Terre? Sans la lune, l’inclinaison de l’ axe de la Terre pourrait passer de son oscillation actuelle 22 Ă  25 degrĂ©s environ Ă  un Ă©cart allant de zĂ©ro Ă  85 degrĂ©s ! Une inclinaison nulle Ă©liminerait les saisons, tandis qu’une de 85 degrĂ©s pencherait entiĂšrement la Terre sur ​​le cĂŽtĂ©. Navigation de l’article

MalgrĂ©un budget 2021 Ă  plus de 23 milliards de dollars, la Nasa pourrait ne pas ĂȘtre au rendez-vous de 2024, date Ă  laquelle le prĂ©sident Trump souhaitait le
Le premier phénomène physique auquel les êtres humains sont confrontés est celui de la gravitation. C’est le phénomène que le jeune enfant observe en laissant tomber, inlassablement, son gobelet du haut de sa chaise. Il ne suffit cependant pas d’observer pour pouvoir expliquer et le chemin de l’expérimentation à la théorie peut être long et difficile, car souvent l’intuition ne suffit pas. Aristote ~385 Ă  ~382 La cosmologie d’Aristote La première théorie visant à expliquer la chute des corps est due au philosophe grec Aristote. Pour celui-ci, l’univers est constitué de deux régions différentes subdivisées en sphères concentriques. Ce sont le monde sublunaire, qui s’étend du centre de la Terre à la sphère de la Lune, et le monde supra-lunaire, de la sphère de la Lune à celle des étoiles. Pour Aristote, les lois de la nature ne sont pas les mêmes dans ces deux régions. Le monde sublunaire est imparfait, le monde supra-lunaire est parfait et immuable. Le monde sublunaire Dans le monde sublunaire il y a deux sortes de mouvements la chute des corps, qu’Aristote qualifie de mouvement naturel, et le mouvement violent causé par une force extérieure comme le lancer d’un objet. Pour expliquer la chute des corps, Aristote semble avoir été inspiré par le mouvement des objets dans un liquide. En plaçant divers objets dans l’eau, on constate qu’il y en a qui flottent alors que d’autres coulent, certains plus rapidement que d’autres. En immergeant des objets, on remarque qu’une fois relâchés, les corps lourds restent au fond de l’eau alors que les plus légers remontent à la surface, certains plus rapidement que d’autres. Pour Aristote, la chute des corps dans l’air est un phénomène analogue qu’il explique en ayant recours aux quatre éléments d’Empédocle. Ces éléments sont, du plus léger au plus lourd, le feu, l’air, l’eau et la terre. Ces quatre éléments sont présents dans chaque corps mais en proportions différentes. Aristote explique que chaque corps tend à occuper la place naturelle de son élément dominant. Cette tendance est d’autant plus grande que la proportion de l’élément dominant est importante. Ainsi, plus un corps est lourd c’est-à-dire comporte une grande proportion de l’élément terre, plus il tombe rapidement car sa tendance à occuper son emplacement naturel est forte. Plus un corps comporte une grande proportion de l’élément feu, plus il s’élève rapidement. Cette propension est facile à constater lorsqu’on observe un feu on voit bien que les flammes s’élèvent et, tout corps contenant une forte proportion de cet élément fera de même. Dans cette région intérieure de l’univers, des perturbations interviennent souvent, mais lorsque la cause de ces perturbations prend fin le mouvement du corps est à nouveau régi par les lois naturelles. Par exemple, en lançant un objet dans les airs, on lui imprime un mouvement violent, contre nature. Lorsque la cause de ce mouvement violent prend fin, cet objet tend à reprendre sa place naturelle. Dans la conception aristotélicienne de la chute des corps, le vide n’est pas concevable. Comme dans l’eau, le mouvement requiert la présence de corps en interaction et la vitesse du mouvement dépend de la composition de ces corps. L’impossibilité du vide force donc Aristote à ajouter un cinquième élément à ceux d’Empédocle. Ce cinquième élément, appelé éther ou quintessence, est présent dans le monde supra-lunaire et comble l’espace entre les planètes et les étoiles. Le monde supra-lunaire La région la plus externe est le monde supra-lunaire, qui s’étend de la sphère de la Lune à la sphère des étoiles fixes. Dans cette région, les corps sont parfaits et immuables. D’un point de vue géométrique, la sphère est le corps le plus parfait. Les corps célestes sont donc sphériques et leur mouve- ment ne peut être décrit que par des sphères en rotation. La théorie d’Aristote sur le monde supra-lunaire s’inspire de la théorie d’Eudoxe pour expliquer le mouvement des planètes. Depuis longtemps, les savants avaient constaté que sept objets célestes se déplaçaient sur un fond d’étoiles fixes. Ces objets mobiles appelés planètes vagabonds en grec sont le Soleil et la Lune, ainsi que les planètes connues à l’époque Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne. À l’exception de Mars qui, parfois, semble ralentir et même se déplacer en sens inverse durant quelques semaines, on avait observé que les planètes se déplacent d’ouest en est. Eudoxe, né en ~408, a tenté d’expliquer ces phénomènes en proposant un modèle dans lequel la Terre est fixe et les planètes sont situées sur un ensemble de sphères transparentes, homocentriques et interreliées qui tournent à différentes vitesses constantes autour de la Terre. Quant aux étoiles, elles étaient fixées à la sphère la plus extérieure. La théorie d’Aristote sur la chute des corps présentait des failles majeures, mais en l’absence d’une meilleure explication du mouvement, elle fut adoptée pendant près de 2000 ans. GalilĂ©e 1564-1642 La chute des corps selon Galilée La théorie aristotélicienne du mouvement est une théorie spéculative », c’est-à-dire un ensemble d’hypothèses échafaudées à partir d’une observation superficielle et qui ne sont pas vérifiables expérimentalement. On doit à Galilée 1564-1642 la première démarche pour établir expérimentalement une description de la chute des corps. Plusieurs des objections soulevées à l’encontre du modèle héliocentrique de Nicolas Copernic 1473-1543 découlaient de l’incompatibilité de ce modèle et de la théorie du mouvement d’Aristote. Galilée a compris qu’il fallait développer une autre théorie du mouvement pour que le modèle héliocentrique puisse être adopté. Il montre d’abord, en adoptant un raisonnement par l’absurde, que l’explication d’Aristote n’est pas valide Si les corps lourds tombent plus vite que les corps légers, en attachant ensemble un corps léger et un corps lourd, le plus léger des deux ralentira le corps lourd et l’assemblage doit tomber moins vite que le plus lourd des deux corps. Cependant, une fois attachés ensemble, ils forment un nouveau corps plus lourd que le plus lourd des deux. Ce nouveau corps doit donc tomber plus vite que le plus lourd des deux. Ce qui est une contradiction. Par conséquent, tous les corps doivent tomber à la même vitesse. Du pendule à l’inertie Galilée s’est intéressé aux phénomènes que les aristotéliciens ne pouvaient expliquer à l’aide de leur théorie du mouvement, entre autres, le mouvement du pendule. Avec la théorie d’Aristote, il est facile de comprendre que le corps lourd suspendu au bout de la corde va descendre pour retrouver sa place naturelle. Une fois qu’il l’a atteinte, pourquoi remonte-t-il? Ne serait-il pas naturel qu’il demeure suspendu au point le plus bas de la trajectoire ? En étudiant le mouvement des pendules Galilée utilise divers montages dans lesquels le mouvement s’apparente à celui du pendule. En modifiant le dispositif, il constate que la bille remonte à peu près à la même hauteur d’où elle a été lancée, même en diminuant la pente et en allongeant le parcours de la remontée. La bille perd graduellement de la vitesse dans la remontée et, en l’absence de frottement, la hauteur atteinte devrait être exactement celle d’où la bille est partie. Que va-t-il se passer s’il n’y a pas de remontée et que la partie de droite du dispositif demeure horizontale? Par un passage à la limite, Galilée conclut que la bille devrait rouler indéfiniment à vitesse constante. Le mouvement continue donc sans qu’aucune force n’agisse pour le maintenir. Cette conclusion sera reprise par Isaac Newton qui en fit sa première loi du mouvement appelée principe d’inertie. Pour Aristote, l’état naturel d’un corps, c’est le repos et une force doit s’exercer pour qu’un objet puisse quitter cet état. Avec les expériences de Galilée sur les pendules, il faut abandonner cette idée. Le déplacement en mouvement rectiligne à vitesse constante ne nécessite pas l’intervention d’une force qui le maintiendrait en mouvement. Il n’y a plus de différence qualitative entre repos et mouvement. La chute des corps La chute d’un corps est trop rapide pour qu’il soit facile d’en prendre des mesures. Pour procéder à une étude quantitative de ce mouvement, il faut pouvoir le ralentir. Galilée s’est servi du plan incliné pour établir un lien entre le temps et la distance parcourue. Laissons-le relater l’expérience On utilise un plan incliné de 1 coudée1 environ, large d’une demi-coudée et épais de trois doigts, dans lequel a été creusé un canal parfaitement rectiligne d’une largeur à peine supérieure à un doigt, à l’intérieur duquel peut glisser une boule de bronze très dure, parfaitement arrondie et polie. Pour diminuer le frottement, on a garni le canal d’une feuille de parchemin bien lustrée. Intervalles de temps et distances Galilée mesure la distance que la bille parcourt dans un premier intervalle de temps et constate que durant le deuxième intervalle, elle parcourt trois fois cette longueur. Durant le troisième intervalle, elle parcourt cinq fois cette longueur. Durant le quatrième intervalle, elle parcourt sept fois cette longueur et ainsi de suite. Il considère les sommes partielles des distances parcourues. Après une unité de temps, une unité de distance. Après deux unités de temps, quatre unités de distance. Après trois unités de temps, neuf unités de distance. Après quatre unités de temps, seize unités de distance. Il constate alors que les distances parcourues par un corps en chute libre sont proportionnelles au carré des temps2, \[\frac{d_2}{d_1} = \frac{t_{2}^{2}}{t_{1}^{2}}.\] En écriture moderne, \d=ct^2.\ Composition des mouvements Galilée a aussi réalisé des expériences sur la composition des mouvements en installant un plan incliné sur une table. Ce plan incliné était muni d’un déflecteur, pour que le mouvement de la bille soit horizontal en quittant le bord de la table. Avec ce dispositif, en choisissant de quelle hauteur il laissait partir la bille, il contrôlait la vitesse horizontale de celle-ci lorsqu’elle quittait le déflecteur. En faisant l’hypothèse que la trajectoire de la bille est une parabole, il pouvait alors prévoir le point d’impact et calculer la différence entre la valeur théorique et la valeur expérimentale. La figure suivante est une reproduction de la page de notes prises au cours de cette expérience. Sur cette page, Galilée représente sur une verticale les hauteurs de départ de a bille. Il indique également la distance des points d’impact observé et les distances attendues ainsi que les différences entre ces valeurs. C’est la première fois dans l’histoire qu’un tel rapport d’expérience est fait. Les notes de Galilée indiquent qu’il voulait comparer les résultats expérimentaux et les valeurs prédites par un modèle. Il a donc calculé les différences entre les distances prédites par le modèle et les valeurs expérimentales. Pour s’assurer que la courbe géométrique qui décrit le mieux la trajectoire d’un projectile est la parabole, Galilée dispose successivement un plan horizontal à différentes hauteurs et il enregistre, pour chacune d’elles, les points d’impact avec la plus grande précision possible. La reproduction de ses notes est donnée dans l’illustration ci-dessus. Il donne la description suivante d’une autre de ses expériences pour confirmer la forme géométrique de la trajectoire. Je prends une bille de bronze parfaitement ronde et pas plus grande qu’une noix, et je la lance sur un miroir de métal, tenu non pas perpendiculairement, mais un peu incliné, de telle façon que la bille puisse rouler sur sa surface, et je la presse légèrement dans son mouvement elle laisse alors la trace d’une ligne parabolique très précise et très nette, plus large ou plus étroite selon que l’angle de projection sera plus ou moins élevé. Ce qui d’ailleurs constitue une expérience évidente et sensible sur la forme parabolique du mouvement des projectiles. Grâce à ces expériences, Galilée fut en mesure d’affirmer qu’un projectile est en chute libre durant toute la durée du mouvement. La trajectoire du projectile est déviée de la ligne droite. Cependant, les distances entre la ligne droite et la trajectoire sont dans le rapport des carrés des temps. Par la notion de composition des mouvements, Galilée a montré que les objections à l’héliocentrisme qui se basaient sur la théorie du mouvement d’Aristote n’étaient pas recevables. Il s’est alors intéressé à la lunette et à l’observation des étoiles, des planètes et de la voie lactée. Isaac Newton1643-1727 Les lois du mouvement La formulation actuelle du principe d’inertie est donnée par Newton qui en fait la première de ses trois lois du mouvement. Première loi du mouvement Tout corps au repos ou en mouvement rectiligne uniforme demeure au repos ou en mouvement rectiligne uniforme tant et aussi longtemps qu’aucune force n’agit sur ce corps. Deuxième loi du mouvement L’accélération communiquée à un corps par une force est directement propor- tionnelle à l’intensité de la force et inversement proportionnelle à la masse du corps. Troisième loi du mouvement Toute force d’action s’accompagne d’une force de réaction d’égale intensité et de sens contraire. De la pomme à la Lune Le problème des trajectoires circulaires des planètes avait déjà fait l’objet de recherches de la part de René Descartes 1596-1650 et de Christiaan Huygens 1629-1695. Ceux-ci cherchaient à expliquer ce type de mouvement en ayant recours à une force centripète, dirigée vers le centre de la trajectoire, et à une force centrifuge, qui tend à éloigner du centre le corps en orbite. Les premières réflexions de Newton sur l’orbite lunaire prenaient également en compte une force centrifuge. Sa démarche a pris une orientation définitive lorsque Robert Hooke 1635-1703, vers la fin de 1679, a suggéré à Newton une nouvelle façon d’interpréter le mouvement le long d’une trajectoire courbe. Hooke considérait qu’il fallait plutôt décomposer la trajectoire d’une planète selon une composante inertielle, dont la direction est tangente à la courbe de la trajectoire, et une composante centripète. En considérant une force dirigée vers le centre, cette approche reconnaît toute l’importance du corps central. De plus, s’il y a une force attractive entre le Soleil et les planètes, celle-ci doit exister entre deux corps composés de matière comme la Terre et la Lune. En parvenant à cette conclusion, Newton consacre le rejet du modèle aristotélicien d’un univers constitué d’un monde sublunaire et d’un monde supra-lunaire régis par des lois distinctes. En adoptant l’intuition de Hooke, la question à laquelle Newton devait trouver réponse est la suivant Pourquoi la Lune ne tombe-t-elle pas sur Terre comme le fait la pomme? Les travaux de Galilée sur la composition des mouvements à l’aide d’un plan incliné muni d’un déflecteur avaient permis de comprendre que la trajectoire d’un projectile peut être considéré comme la composition de deux mouvements. L’hypothèse de Hooke soulève une question Peut-on concilier la loi de la chute des corps de Galilée avec le fait que la Lune ne s’écrase pas sur Terre? Pour répondre à cette question, Newton donne l’exemple d’un boulet de canon. En tirant le boulet horizontalement d’une cer- taine hauteur, il suit une trajectoire parabolique mais prend le même temps pour toucher le sol que si on le laisse tomber à la verticale. Les mouvements, horizontal et vertical, se composent, le trajet parcouru est plus long, mais le temps nécessaire pour effectuer ce parcours est le même, il est indépendant de la vitesse initiale. Plus la vitesse initiale est importante, plus la distance parcourue par le boulet est grande. Puisque tous les corps tombent avec la même accélération, le temps requis pour tomber de cette hauteur est toujours le même indépendamment de la vitesse horizontale. Ce raisonnement est valide en considérant que la Terre est plate. Que se passe-t-il si on prend en compte la sphéricité de la Terre? Si la vitesse initiale est suffisamment grande, la Terre se dérobe sous le boule et le temps nécessaire pour toucher le sol n’est plus le même. Il augmente avec la vitesse initiale. En augmentant la vitesse initiale du boulet, le temps écoulé avant l’impact est plus grand à cause de la courbure de la Terre. Qu’advient-il si le boulet est tiré du sommet d’une haute montagne avec une vitesse très très grande? Dans un tel cas, la Terre se dérobe continuellement sous le boulet et celui-ci continue de tourner autour de la Terre. Newton en vient donc à la conclusion que la Lune, tout comme la pomme, tombe » vers la Terre. En considérant cette nouvelle approche, Newton a démontré les lois de Kepler sur le mouvement des planètes. Il restait une question à laquelle Newton n’a pas su répondre et qui a hanté les scientifiques de plusieurs générations. Comment la force d’attraction se transmet-elle entre deux corps qui ne sont pas en contact? Bernhard Riemann 1826-1866 Après avoir été initié par les mathématiciens Marcel Grossmann 1878-1936 et David Hilbert 1862-1943 aux travaux de Bernhard Riemann sur la géométrie des espaces courbes, Albert Einstein 1879-1955 a apporté une réponse à cette question en présentant sa théorie de relativité générale3. Einstein explique que la matière incurve l’espace-temps et cette courbure régit le déplacement des corps dans l’espace. PDF
LamĂȘme force centrifuge qui tourne autour de la planĂšte ne cĂšde pas la place Ă  la Terre, mais la gravitĂ© de la Terre ne permet pas Ă  la Lune de «s'Ă©chapper» pendant la rotation. La lune se dĂ©place assez vite pour ne pas tomber sur Non la lune ne tombe pas sur la terre, elle tourne autour; elle est attirĂ©e par la terre, mais sa rotation autour de la terre crĂ©e une force centrifuge qui s'oppose Ă  cette attraction. Tout Ă  fait la lune tombe sur La.lune Ă .une vitesse d'apesenteur ,ce qui fait que sa vitesse ne lui permet pas d'aller tout droit mais de tomber Ilcontribue aussi Ă  l’habitabilitĂ© de la Terre. Son importance scientifique, culturelle et mĂȘme gĂ©opolitique n’est plus Ă  dĂ©montrer. Mais tous ses mystĂšres n’ont pas encore Ă©tĂ© kz6V6k.
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