Ilsaccompagnent nos chères petites têtes blondes pendant une année comment ne pas les remercier par un petit présent. Porte clés modèle perles avec cabochon de 25 mm de diamètre en verre . Waouh, maitresse, toi aussi tu as YouTube ? » Quel ne fut pas mon étonnement la première fois qu’un de mes CM2 m’a interpelée de la sorte ! Aujourd’hui, ce genre de réflexion ne me surprend plus. Chaque année, en allumant le vidéo projecteur pour leur montrer le clip de la première chanson à apprendre, j’y ai droit. En creusant un peu auprès des élèves, suite à cette question, je me suis rendue compte que les enfants ne savent pas comment fonctionne Internet. Ils utilisent un ordinateur instinctivement, sans se préoccuper réellement de son fonctionnement. D’habitude curieux de tout, ils sont étrangement tellement passifs face à leur écran. Aujourd’hui, ce qui ressort le plus quand on parle de la nouvelle génération d’enfants, c’est que tout leur est dû et que tout doit leur être expliqué et justifié. À notre grand désarroi parfois, n’est-ce pas ? D’ailleurs, le maître-mot à l’école n’est-il pas donner du sens » ? Cette année, un élève m’a dit que je n’avais pas le même YouTube que lui. Les autres ont alors confirmé qu’il était aussi différent du leur. Après une petite discussion à ce sujet sur ce en quoi mon » YouTube n’est pas le même, il s’avère que tous nos » YouTube sont différents. En effet, sur la page d’accueil du site, chacun y retrouve ses dernières recherches ainsi que des suggestions personnalisées. Ils ont été surpris par l’attention particulière de ce site et en ont été ravis ! De là, a suivi une série de questions de leur part. J’avais piqué leur curiosité sur le fonctionnement du site et de bien d’autres applications qu’ils utilisent au quotidien. Le débat était lancé ! Suite à cela, j’ai compris que les enfants ne faisaient pas toujours le rapprochement entre Internet et YouTube. Pour eux, ce sont 2 applications différentes et indépendantes l’une de l’autre, tout comme WhatsApp, Tik Tok et autres réseaux sociaux. La grande majorité d’entre eux pense que l’on va sur Internet » pour chercher des informations. Les moyens de communication, les applications diverses et variées et ce fameux et incontournable YouTube ne s’utilisent pas en allant sur Internet ». L’expression aller sur Internet » est donc en soi une action à part entière, comme voir des vidéos sur YouTube », envoyer un WhatsApp » … Mais qu’est-ce que c’est Internet pour eux ? Pour certains, c’est Google et sa barre de recherche, pour d’autres c’est ce qui est dans la box du salon, et pour les restants, c’est le Wifi. Nous autres, adultes, avons découvert Internet il y a une vingtaine d’années déjà et seulement à la fois, me dis-je souvent. Quelques-uns d’entre nous ont même fait des stages d’initiation proposés soit par les universités, soit par les mairies. Nous savons comment cela s’installe, comment l’utiliser, les multitudes de portes que cela nous ouvre dans tous les domaines possibles et imaginables. Les enfants, quant à eux, sont nés avec, ils l’utilisent comme ils allument et éteignent la lumière, ouvrent et ferment des robinets, montent dans une voiture, font chauffer leur lait le matin dans le micro-ondes, sans vraiment se demander comment ça marche. Les enfants sont des consommateurs, des joueurs. Les parents sont débordés, fatigués par la vie. Nous n’avons pas toujours le temps ni la motivation, avouons-le de leur proposer des activités extérieures, nous aimerions tant souffler de notre journée harassante. Les enfants sont alors cantonnés devant leurs écrans dehors, c’est dangereux de nos jours, leurs jouets sont aujourd’hui de plus en plus connectés et le numérique prend une place naturellement et de plus en plus grande à la maison. Mais qu’en est-il à l’école ? Si pratiquement toutes les classes sont aujourd’hui équipées d’un vidéo projecteur, une grande majorité ne peut proposer des ordinateurs en libre accès aux élèves. Leur accès au numérique à l’école se fait donc bien souvent via l’écran au tableau, quasiment toujours passivement. Alors je ne suis pas étonnée lorsque je demande à quoi sert l’ordinateur et qu’ils me répondent à regarder des vidéos à aller sur Word pour écrire à jouer en ligne cette notion n’est pas non plus reliée avec le concept d’internet dans leur tête Et quand je leur demande pour quoi vont-ils sur Internet, ils répondent tous que cela leur sert principalement à trouver des informations pour l’école dans le cas d’exposés ou d’exercices divers, pour voir les mails quand on était en confinement avec l’école à la maison, par exemple. Ils vont aussi sur Internet enfin, plutôt sur Google » pour chercher des nouveautés sur les jeux ou des astuces pour avancer dans leur niveau. Alors qu’Internet sert principalement aux parents pour les informations sur l’actualité, et surtout pour le travail, encore plus de nos jours avec le télétravail qui se développe. Lorsque l’on est enfant du primaire, la recherche d’informations se fait beaucoup par questionnement aux adultes, on n’est pas encore assez autonomes pour trouver seuls des réponses. Cela on l’apprend et cela on l’acquiert avec la maturité. Le travail de l’école, conjointement avec celui des parents, va aider nos chères petites têtes blondes à grandir et à être prêts à explorer le monde numérique et réel à l’entrée au collège. Une chronique de Claire Gomez Louise
Le 1er site d’information sur l’actualité. Retrouvez ici une archive du 04 septembre 1991 sur le sujet Chères petites têtes blondes
Publié le 04/05/2015 à 1048, Mis à jour le 04/05/2015 à 1732 Ce rapport devrait maintenant se doubler d'une enquête plus approfondie pour déterminer les responsabilités individuelles. FRED DUFOUR/AFP INFO LE FIGARO - Le rapport d'étape conclut à des dysfonctionnements et des responsabilités partagées entre la Justice et l'Éducation nationale concernant les deux affaires de Rennes et de Villefontaine. Des dysfonctionnements des deux côtés et des responsabilités partagées par la Justice et l'Éducation nationale, qu'il s'agisse de l'affaire de Rennes comme de celle de Villefontaine. Ce sont les conclusions du premier rapport d'étape sur les affaires de pédophilie à l'école qui défrayent la chronique depuis maintenant deux le parquet n'a pas transmis les informations à l'Éducation nationale en temps utiles, conformément aux circulaires existantes, cette dernière aurait de son côté fait preuve de négligence puisqu'elle aurait égaré des documents précieux concernant les enseignants mis en rapport devrait maintenant se doubler d'une enquête plus approfondie pour déterminer les responsabilités individuelles. Si ces dernières étaient avérées, les ministères de la Justice et de l'Éducation nationale n'excluent pas des poursuites éviter que ne se reproduisent les drames de Villefontaine et de Rennes, les deux ministères font un grand pas, après des années d'immobilisme sur ce dossier. Ainsi, d'ici à la fin de l'année devrait être votée une disposition législative obligeant les parquets à communiquer auprès de l'Éducation nationale dès le stade de l'enquête. Trop souvent, des affaires sont classées sans que cette dernière n'ait été avertie des même, en cas d'infraction dont la condamnation implique l'interdiction d'entrer en contact avec des enfants, cette communication sera sous l'égide de la Direction des affaires criminelles et des grâces, procureurs généraux et recteurs travaillent sur le dispositif pratique qui devrait permettre la fluidité de l'information entre les deux corps. Lenouveau titre Art kid’s s’adresse aux 6-12 ans. Il - 09/20/2001 Validation médicale 02 September 2015 Quelle famille n'a pas connu le désagrément de découvrir ces parasites si tenaces sur la tête de ses enfants ? Les poux infestent facilement les plus jeunes et résistent de plus en plus souvent aux traitements conventionnels. Mais un nouveau traitement par comprimé pourrait s'avérer plus efficace contre les pédiculoses. Your browser cannot play this video. "Les poux quel cauchemar ! Après le traitement, on croit en être débarrassé, mais ils refont surface et on doit de nouveau changer les draps et éviter d'en attraper soi-même…" avoue Nadine, mère du petit Cyril. Depuis les années 1990, les "Superpoux" font de la résistance face aux traitements courants. Mais les chercheurs pourraient bientôt disposer d'un traitement par voie orale capable de venir à bout de ces parasites 1. Les poux font de la résistance Les poux infestent plus de 100 millions de personnes à travers le monde chaque année. Première cible de ces parasites, les enfants de 3 à 11 ans qui, par leurs comportements sociaux jeux etc., favorisent la propagation des petites bêtes. Dans un certain nombre de cas, les lotions anti-poux classiques restent efficaces, mais on observe de plus en plus de résistances aux traitements. "Pour faire face aux produits insecticides, les poux évoluent en modifiant leur patrimoine génétique" nous déclarait le Pr. Chosidow, professeur de dermatologie à l'Hôpital de la Pitié Salpetrière Paris. Autant dire que nos chères petites têtes blondes ont de quoi se faire des cheveux blancs. Comme de nombreux parasites, les poux ont donc développé leur propre stratégie pour devenir insensibles aux insecticides malathion ou pyréthrine contenus dans les lotions. Dans certaines régions du Royaume-Uni, des expériences in vitro avec de la permethrine et du malathion ont témoigné de résistances atteignant 87 % et 64 % 2 ! En février 2002, il n'y a plus de doute l'efficacité de la plupart des produits est déclinante et la résistance des poux est qualifiée de "chronique" 3. L'apparition de nouvelles formes de résistance semble être en constante augmentation et les épidémies de poux de plus en plus difficiles à traiter et éradiquer. D'où la nécessité de trouver de nouveaux traitements. Consulter en ligne un généraliste Une pilule efficace contre les poux Le Pr Chosidow, en collaboration avec Bruno Giraudeau, chercheur à l'Inserm, a décidé d'évaluer l'efficacité de l'ivermectine, un traitement déjà utilisé contre la gale à une dose de 400 μg par kilo 4. L'ivermectine est un composé de la famille des avermectines qui agit en bloquant les neurotransmissions au niveau du cerveau des invertébrés. Pour cela, ils l'ont comparé au traitement anti-poux classique malathion lotion 0,5 %, en administrant deux fois à 7 jours d'intervalle l'un ou l'autre des produits à 812 personnes contaminées provenant de 376 familles. Résultat 95 % des 398 personnes ayant reçu l'ivermectine étaient débarrassés des poux 15 jours après le début du traitement contre 85 % seulement des 414 avec le malathion. Pour Olivier Chosidow, il n'y a pas de doute "Lorsque les traitements classiques contre les poux ne fonctionnent pas, la prise d'ivermectine deux fois à 7 jours d'intervalle offre de très bons résultats et représente une réelle alternative aux lotions anti-poux classiques". Un traitement à réserver donc en deuxième ou troisième ligne, pour ne pas voir là-encore apparaître des résistances. L'enthousiasme des auteurs est d'autant plus compréhensible que l'utilisation de ce médicament par voie orale conduit à moins de mauvaise utilisation qu'avec les lotions, un mésusage qui favorise les résistances 5. Même s'il n'a pas été constaté d'effets secondaires importants avec l'ivermectine, des études impliquant plus de personnes seront cependant nécessaires pour s'assurer de son innocuité. Toutle mois d'août, on vous présente un tour d'horizon des centres aérés ou de loisirs du Vignoble. Aujourd'hui, Barbechat. Cette semaine, Fabien répond à une lectrice qui ne veut pas d'enfant, contrairement à son partenaire. Bonjour,Je n’ai jamais voulu d’enfant. Je n’en voulais pas quand j’ai rencontré l’homme de ma vie, je n’en voulais pas hier, je n’en veux pas aujourd’hui et je n’en voudrais probablement pas demain. C’est ainsi, je n’en ressens pas le besoin et je n’aime pas particulièrement les enfants. Mon fiancé le sait, il l’a toujours découvrir également Témoignages ces femmes qui ne veulent pas d’enfantLe problème est qu’il vient de devenir tonton et qu’il ne me parle sans cesse de son neveu. Il veut tout le temps le voir – j’ai presque l’impression d’avoir eu un fils tant il prend de place dans notre ce qui devait arriver arriva il parle à nouveau de faire des enfants. Alors que j’avais été claire dès le début et qu’il l’avait accepté. De surcroît, sa famille s’y met, avec des allusions plus ou moins directes. Les déjeuners chez eux deviennent n’embête pas les femmes qui veulent des enfants, pourquoi embête-t-on celles qui n’en veulent pas ?L'avis de FabienChère féminaute, Il me semble, à la lecture de votre témoignage, que vous ne voulez pas d’enfant. Ai-je bien résumé ?Malheureusement, cela paraît simple énoncé ainsi, mais cela ne l’est pas du tout dans la réalité. Car le fait, pour une femme, de ne pas vouloir d’enfant heurte l’imaginaire collectif – fait de têtes blondes, de chien dans la niche et de rêve américain. Autant la société évolue sur le rôle des femmes en son sein et la majorité des gens ont pris conscience de la nécessité d’une égalité de traitement entre les sexes, autant il est toujours commun de considérer que la femme doit et veut faire des enfants. Lorsque l’on n’entre pas dans la case des femmes à instinct maternel, il est assez fréquent que l’on doive se justifier sur ses choix et ses votre discours a toujours été clair avec votre fiancé, c’est à lui de s’engager désormais, car la situation qu’il vous fait vivre n’est pas supportable sur le long terme. N’hésitez pas à être extrêmement ferme sur le sujet afin qu’il ne puisse pas croire que cette situation pourrait évoluer un jour, car cela ne pourra occasionner que de la souffrance chez lui et donc chez vous.Maintenant, concernant votre neveu car oui, c’est aussi le vôtre, il est normal, si votre fiancé renonce à devenir père, qu’il investisse ce rôle-là. Pour peu que vous fixiez certaines limites, peut-être même apprendrez-vous à apprécier d’être la tata. Il ne vous restera plus qu’à décider quel genre vous serez la tata pas contente, la tata qui fait des cadeaux, la tata qui fait des tartes à la pomme, la tata qui emmène faire des sauts en parachute. En bref un monde à dernières questions/réponses de Fabien Ne supportant plus de vieillir, je choisis des hommes de plus en plus jeunes » Mon petit ami n’aime pas du tout les mêmes films que moi » Toutes les amies de mon fiancé sont jolies et cela me complexe »Vous aussi, posez votre question à Fabien ! Noschères têtes blondes, un film de Charlotte Silvera avec Carmen Maura, Julie DurandRenaud Cestre. Synopsis : Bouquet de fleur à la main, quatre adolescents frappent à la porte du domicile de leur proviseur de lycée pour lui souhaiter son anniversaire. Touchée par cette jolie surprise, Passionné par les sujets de société et la culture, Clément Arbrun est journaliste pour le site Terrafemina depuis 2019. Dire les mots "vulve", "pénis" ou "vagin" est synonyme d'empouvoirement pour vos enfants. Question d'éducation sexuelle, mais surtout d'éducation tout court les mots importent, et on ne le dit jamais assez. En ce sens, nommer correctement les appareils génitaux compte. Oui oui, même si cela vous effraie de dire "vulve", "pénis" ou "vagin" à votre enfant. Zizi, zézette, kiki, quéquette... Ils abondent, les noms à la fois rigolos et intensément ringards employés pour désigner l'anatomie intime des filles et des garçons. Ces mots sont volontiers brandis par et pour les enfants, rires à l'appui, comme s'il s'agissait d'appliquer à certains tabous une légère couche de dérision et de mignonnerie, histoire de mieux faire passer la pilule. Rien de grave là-dedans ? Peut-être. Et pourtant, dire correctement les choses compte. Vraiment. C'est ce sur quoi insistent de plus en plus de voix expertes aujourd'hui. Parents et spécialistes comprennent que la désignation correcte des appareils génitaux participe à la bonne éducation des enfants, leur rapport direct au monde et aux autres, mais aussi la relation qu'ils nourrissent envers leur propre corps. Autant de vertus psychologiques loin d'être anodines, n'est-ce pas ? Si l'on dit nez, jambes ou genoux, pourquoi ne dit-on pas "vagin", "pénis", "vulve" ? La question mérite d'être posée. Et les réponses offrent autant de pistes pédagogiques enrichissantes. Petit passage en revue. Dire les choses, mais pourquoi ? Oui, le vocabulaire compte, surtout dans cette période d'initiation et de construction par excellence qu'est l'enfance. On pourrait croire que les expressions utilisées pour rendre les termes anatomiques plus familiers permettent une approche beaucoup plus décomplexée de l'intimité. Mais en vérité, pas vraiment. Au contraire, ce rapport singulier aux mots peut engendrer tout un lot de non-dits, de tabous, d'appréhensions diverses. C'est d'ailleurs ce sur quoi insiste la psychothérapeute Karla Helbert auprès de Today Moms "Parfois, lorsque les gens donnent tous ces noms aux organes génitaux, cela induit un sentiment de honte, l'idée selon laquelle il ne faudrait pas nommer", raconte l'experte. Karla Helbert est mère d'une petite fille de cinq ans qui emploie sans détour les mots "vagin" et "vulve". Une évidence pour celle qui voit là une manière de contrer les complexes. Des complexes qui, au fil des années, peuvent s'accroître. Dire, c'est aussi rappeler que l'intimité, le corps, la sexualité, n'ont rien de mauvais. Inutile donc de leur attribuer de curieux sobriquets. Enoncer, c'est enfin inciter les enfants à mieux se connaître et s'identifier. Vulve, pénis, vagin bien choisir les mots pour communiquer avec vos enfants. Parler plus librement de tout Et ca, la psychothérapeute n'est pas seule à l'affirmer. Dans les pages du journal The Atlantic, Laura Palumbo abonde. Spécialiste de la prévention au sein du National Sexual Violence Resource Center NSVRC pour les intimes, organisme spécialisé dans le traitement des violences sexuelles, la spécialiste encourage à limiter l'usage des synonymes trop "pipi caca". Elle explique pourquoi "Enseigner aux enfants des termes anatomiquement corrects, en fonction de leur âge, promeut une image du corps beaucoup plus positive". Mais pas seulement. Parler ouvertement d'anatomie engendrerait également des effets positifs sur la confiance en soi, ou encore la complicité entre les parents et leurs enfants... Et surtout, l'éveil de la conscience de l'enfant. Comprendre, sa sensibilisation. A des choses comme le respect d'autrui, de son consentement et de son intimité, bien sûr, mais également, aux éventuelles situations d'agressions dont ils pourraient être victimes. C'est en partie pour cela que Laura Palumbo mène son espèce de "lutte du langage" face aux euphémismes qui submergent le nôtre. A en croire l'experte, qui dit meilleur choix des mots dit meilleure communication, et qui dit meilleure communication dit conversations plus aisées à propos de ce que pourrait vivre l'enfant - et alerter les parents. "Il est important d'utiliser les termes anatomiques officiels pour que les enfants puissent parler plus librement des problèmes médicaux qu'ils rencontrent, mais aussi des potentielles violences", nous assure à l'unisson The Atlantic. Comment bien choisir son langage pour parler corps et sexualité à ses enfant ? Le langage, un pouvoir ? Le média américain nous l'énonce oui, le langage, et surtout son bon usage, peut être "empouvoirant" pour les enfants. C'est ce sur quoi insiste le blog d'éducation féministe A Mighty Girl il faut appeler une vulve une vulve, tous les éducateurs insistent sur ce point. Pour éveiller la conscience de nos chères petites têtes blondes, bien sûr, mais aussi celles des parents, pas forcément enthousiastes à l'idée d'employer ces termes de but en blanc. Pourtant, le rapport au corps est toujours ce qui génère les premières questions de leurs enfants. "Nous ne voulons pas que les enfants pensent qu'ils vont avoir des ennuis en posant des questions sur la sexualité et la santé. En ce sens, nous avons besoin que tous les adultes deviennent de vrais partenaires pour tout enseignement qui a trait au développement et à l'intimité", explique encore l'experte Laura Palumbo. Et leur rappeler que si ces mots sont déployés l'espace d'une conversation, ils n'ont aucune raison d'être cachés. Et si on parlait franchement des choses de la vie à nos enfants ? Pédiatre et experte de la santé des enfants, la Dr Natasha Burgert en a même fait le coeur de l'un des billets de son blog "Je dis 'pénis' et 'vagin', et vous devriez aussi. Faites-le pour votre enfant". Pourquoi cela ? Car les noms rigolos rendent l'anatomie "trop bizarre et vague". Difficile de bien enseigner sans vocabulaire précis, et, pour les plus jeunes, de s'approprier leur corps. Enfin, poursuit l'experte, un parent qui en parle sans détour prouve à son enfant qu'il est gage de confiance. "En tant que parents, nous devons surmonter nos propres craintes pour être plus honnêtes et francs avec nos enfants, en toutes choses. Cela nous servira aussi bien maintenant qu'à l'avenir", achève la pédiatre. Et si vous appliquiez ces conseils de pro au quotidien ? Unsondage de la Jeunesse au plein air (JPA) indique que si les Français n’ont rien contre les colonies de vacances, ils n’ont juste pas les moyens de se les payer Avec un

À un moment où l’éducation sexuelle, dès l’âge le plus tendre de nos chères têtes blondes, est de nouveau sur le devant de la scène, il n’est peut-être pas inutile de relire ce qu’en disait Alfred Adler 1870-1937. Psychothérapeute autrichien d’origine juive, l’un des plus célèbres disciples de Freud, fondateur de l’ École de psychologie individuelle », Adler était très soucieux des problèmes d’éducation dont il passait pour un expert. Pour lui, l’homosexualité devait être considérée comme un échec de l’éducation. Voici quelques extraits tirés du Problème de l’homosexualité, écrit en 1917. Certes, le langage et les concepts utilisés sont historiquement datés. Ils n’en restent pas moins dignes d’être versés dans le débat, étant donné l’immense notoriété de leur auteur, encore aujourd’hui. Les recherches et les expériences de la Psychologie individuelle développée comparée ont confirmé entièrement mes vues, à savoir que l’homosexualité représente l’entraînement de l’individu découragé qui, depuis son enfance, tend à éviter la solution normale du problème de l’amour, écartant toute possibilité de défaite, en excluant le sexe opposé. » La meilleure réponse à ce problème consiste en une éducation des enfants en vue d’une compréhension scientifique de la vie. » Tel un fantôme, tel un épouvantail, se pose dans la société le problème de l’homosexualité. Malgré toutes les condamnations, le nombre des pervers semble augmenter. Le jugement religieux et juridique s’avère insuffisant. L’homosexualité augmente aussi bien dans les districts ruraux que dans les grandes villes. Des enfants comme des adultes, voire des vieillards, les hommes comme les femmes payent leur tribut à ce vice. L’homosexualité préoccupe le pédagogue, le sociologue, le neuropsychiatre et le juriste. [ …] Les peines les plus sévères, l’attitude la plus conciliante, le jugement le plus clément restent sans influence sur l’évolution de cette anomalie. » La doctrine de la dégénérescence ne nous renseigne pas davantage sur la question de l’homosexualité, car les auteurs qui se servent de cette option – Hirschfeld, Fliess, Freud, – ne peuvent répondre à la seule question importante et nous dire qui, parmi les dégénérés, empruntera la voie de l’homosexualité. » On ne peut pas davantage invoquer la Grèce antique et son Éros. […] Il semble que l’attirance pour les adolescents a fait son apparition à un moment où la femme avait rapidement gagné en importance et en influence. […] L’homme se trouvait facilement incité à douter de sa position supérieure. À partir de ce sentiment d’insécurité, la conquête de la femme lui semble une entreprise risquée. » En plus le rôle de mentor [du pédéraste] permet à l’homme vis-à-vis de l’adolescent de conserver sa position privilégié. » Fuite de l’homme devant la femme L’homosexualité de notre époque montre les mêmes fondements psychiques et apparaît de ce fait presque automatiquement comme étant la fuite de l’homme devant la femme. Mais les mécanismes sociaux régulateurs caractérisant la Grèce antique manquent aujourd’hui. » Le peuple grec, explique Adler, était un corps homogène soumis à un État dominant. C’est ainsi que le courant nuisible de l’homosexualité se transforma grâce à la force de l’idée sociale en une tendance pour ainsi dire éducative et bienfaisante. Il est indubitable que ce côté rassurant, positif, manque à l’homosexualité contemporaine ». L’homosexualité, de nos jours, se présente comme un produit de remplacement stérile qui nuit à l’épanouissement du sens social déjà insuffisamment développé. » Les caractéristiques communes à toutes les perversions homosexualité, sadisme, masochisme, masturbation, fétichisme, etc. peuvent se résumer d’après les résultats de la psychologie adlérienne de la façon suivante 1 Chaque perversion sexuelle est l’expression d’un éloignement psychique accru entre l’homme et la femme. 2 Elle indique en même temps la révolte plus ou moins profonde du sujet vis-à-vis de son incorporation à un rôle sexuel normal. 3 La tendance à la dépréciation du partenaire, généralement normal, ne manque jamais. 4 Des efforts compensateurs essayent de faire disparaître l’infériorité en face de la puissance surestimée de la femme dans le cas de l’homosexuel homme et de l’homme dans le cas de la lesbienne. 5 Les homosexuels ont tendance à l’hypersensibilité, et à exagérer leurs ambitions. L’homosexualité est pour ainsi dire la négation de la volonté humaine dans un de ses points les plus sensibles ; car la volonté humaine porte d’une façon vivante en elle l’idéal d’une perpétuation. Ce simple fait suffit pour imposer l’hétérosexualité en tant que norme et pour placer toute perversion, y compris la masturbation, au rang du crime, de l’égarement ou du péché, selon les époques. » L’auto-intoxication des homosexuels Il y a chez les homosexuels une tendance trompeuse » à justifier leur orientation sexuelle par des souvenirs d’enfance ». En résumé, nous trouvons partout une intervention active du patient, accumulant les preuves pour acquérir l’irresponsabilité en ce qui concerne sa conduite. Ce fait entraîne une attitude active hostile envers la société qu’on pourrait définir de la façon suivante les buts de l’homosexuel se trouvent en contradiction avec les prémisses d’une vie sociale, le sujet montre peu de sens social et à peine cette bienveillance envers les autres grâce à laquelle les êtres humains arrivent à se lier entre eux. L’homosexuel ne cherche pas une adaptation pacifique et harmonieuse à la société et sa tendance expansive, prudente mais exagérée, le mène sur le chemin d’une lutte incessante et d’un besoin constant de se mesurer avec les autres, tendance à laquelle il soumet également son instinct sexuel. En un mot l’homosexuel ne s’est pas développé pour devenir un partenaire de la société humaine. » Dès l’année 1914 et à la suite de nombreuses recherches et observations, poursuit Adler, j’ai pu établir que l’homosexualité a toujours une source psychique, certaines particularités corporelles agissant comme facteurs adjuvants. » D’où sa conviction que l’orgueil que certains homosexuels tirent de leur “particularité” représente la compensation d’un profond sentiment d’infériorité et d’insécurité vis-à-vis de la femme. » Pourquoi tant d’opposition dans la société à l’homosexualité ? demande Adler. Réponse La logique de la vie communautaire, l’instinct de conservation de l’espèce et finalement le sentiment social inné chez l’être humain l’incitent à se défendre contre l’homosexualité. » La thèse erronée d’une homosexualité innée La thèse d’une “homosexualité innée” est erronée » et ne résiste pas à un examen approfondi, selon Adler 1 Ce ne sont pas les faits organiques qui déterminent l’attitude érotique mais la manière subjective dont le sujet comprend son entité somatique et l’usage qu’il en fait. Un appareil génital atrophié et inutilisable ne laisse déceler aucune tendance homosexuelle. […] La plupart des homosexuels ont un aspect normal, certains même se présentent comme des types remarquables de leur sexe.” 2 Attitudes théâtrales, conduite maniérée, regard langoureux, anxiété feinte, besoin d’appui, coquetterie, attitude mâle, cynisme, brutalité ou autorité sont des emprunts réalisés dans un but donné. Il n’est donc pas étonnant qu’on puise reconnaître l’homosexuel d’après sa conduite et encore moins étonnant que les homosexuels se reconnaissent entre eux. 3 Les anomalies des organes sexuels se trouvent avec la même fréquence chez les sujets hétérosexuels L’homosexualité est une tentative de solution effectuée par un homme faible qui essaie d’esquiver le problème sexuel. […] Un phimosis ou un clitoris hypertrophié n’est jamais un facteur déterminant de l’homosexualité. Cette anomalie peut, par contre, avoir son importance pour créer chez le sujet une opinion erronée sur son état sexuel selon laquelle il serait mal conçu pour pouvoir suivre la norme. » 4 Prendre le dédain prématuré du sexe opposé comme cause de l’homosexualité est une observation superficielle ». 5 L’apparition de rêves homosexuels est à comprendre comme une tentative [du sujet] pour favoriser une tendance homosexuelle ». Adler s’oppose ici frontalement à Freud. 6 Une éducation maladroite » peut être cause d’homosexualité. On doit considérer l’homosexualité comme un échec de l’éducation sociale de l’individu. Étant donné qu’il est l’extériorisation du grand découragement et du profond pessimisme en fonction desquels le sujet s’explique avec la vie dans un cercle très étroit et loin du sexe opposé, toute aggravation des conditions de vie, toute croissance du sentiment d’insécurité dans les rapports inter humains augmenteront le nombre des homosexuels et feront de l’homosexualité un phénomène collectif. » […] Le fait que la femme passe au premier rang de la vie publique » peut être un facteur aggravant. […] L’éducation de notre progéniture en vue du mariage est mauvaise et insuffisante. » Guérir ? Peut-on guérir » de l’homosexualité ? Les chances de réussite du traitement sont aujourd’hui très défavorables », estime Alfred Adler. On réduira notre problème à cette question quelle certitude avons-nous de réussir lorsque nous nous efforçons de transformer un poltron adulte en un sujet courageux, car c’est à cela que se résume le traitement de l’homosexualité, avec cette réserve que cette lâcheté est dans ces cas tout-à-fait camouflée. » Le traitement adlérien de l’homosexualité doit 1 déraciner les anciennes conceptions concernant les dangers de l’hétérosexualité. 2 prouver rigoureusement la distance qui sépare le sujet de son partenaire sexuel 3 dévoiler la ligne de conduite antisociale du sujet 4 découvrir le but de la supériorité auquel tend le malade et détruire cette fiction utopique. Conclusion la prophylaxie de l’homosexualité réside dans l’éducation des enfants. » Il faut donc faire considérer à l’individu son rôle sexuel dès le début comme immuable ». Des assertions catégoriques sur “l’incurabilité de l’homosexualité ” ne peuvent qu’entretenir l’idée fausse du malade. Bref, la guérison n’est nullement garantie. Car, en définitive, il s’agit d’amener un être lâche qui, à tout moment, tente de déserter, à accepter sans condition les exigences de la vie. » L’homosexualité est un expédient manqué et mal compris pour résoudre le problème de l’amour. » Conclusion Nous pouvons en toute certitude affirmer 1 Aucun substratum physiologique ne saurait obliger un individu à chercher des excitations sexuelles ou leur satisfaction auprès d’un partenaire du même sexe. 2 La conception des causes foncières de l’homosexualité, de son caractère héréditaire et de sa nature immuable, peut aisément être considérée comme le résultat d’un préjugé scientifique. 3 La perspective homosexuelle se développe très tôt chez des enfants égocentriques. 4 L’homosexualité apparaît comme une tentative manquée pour compenser un sentiment d’infériorité et elle traduit exactement, par les troubles dans l’activité sociale qu’elle provoque, la position du malade à l’égard du problème de la société. 5 L’homosexualité est la recherche d’un triomphe fictif. 6 Le refus de l’homosexualité s’explique par le sentiment social. 7 Nous nous refusons à qualifier de délit l’homosexualité, l’homosexuel étant induit en erreur par des raisonnements impropre. [Il serait] souhaitable que l’État imposât l’obligation d’un recours aux mesures thérapeutiques. » Cette solution étatique est évidemment insupportable. Mais est tout autant insupportable l’intervention dans l’autre sens, à laquelle tend aujourd’hui Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale… Source Dr Alfred Adler, La Compensation psychique de l’état d’infériorité des organes, suivi de Le Problème de l’homosexualité. Préface et traduction du Dr Herbert Schaffer, Payot 1956

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4 participantsAuteurMessagecata de mineAdminNombre de messages 341Date d'inscription 28/09/2007Sujet nos chères petites têtes blondes Mer 17 Oct - 1508 la mienne elle est réelle, c'est ma fille cadette qui me l'a sortie 4 anspour comprendre il faut savoir que notre voisine avait une chienne sans queue, du nom de partant au super marché faire les courses, elle me demandeDis maman, les chiens y remuent la queue quand ils sont contents ?oui nat !nous faisons les courses et sur le chemin du retoursoit 45 mn après la questionAlors maman, c'est triste, pénélope est le chien le plus malheureux de la terre poourquoi?ben, elle peut jamais rigoler, elle a pas de queue.... les animaux sont sa passion, une autre sortieen rentrant de l'école toute en pleurs, la maitresse leur avait raconté l'histoire de Martin Gray sa femme et ses enfants sont mort brulés dans l'incendie de leur maison avec leur deux chiens-Pourquoi tu pleures nat ?-tu te rend compte, maman ces pauvres chiens qui sont morts brulés !!!!_________________ CatminiAdminNombre de messages 225Age 38Date d'inscription 10/10/2007Sujet Re nos chères petites têtes blondes Mer 17 Oct - 1758 j'adore _________________ BettyboopteamNombre de messages 436Age 41Date d'inscription 28/09/2007Sujet Re nos chères petites têtes blondes Mer 17 Oct - 1810 moi aussi quel coquine cette petite nat qui doit être grande maintenant petites expériences vécues aussimon petit voisin 4 ans 1à l'école l'institutrice raconte une histoire " c'est un jour un petit poussin tout mignon qui monte un building il tombe et meurt"tous les petits ohhhhhhh pauvre poussin elle continue l'histoire" c'est un jour une araignée qui monte un building elle tombe et meurt "et la pas de réaction des enfantsl'institutrice en viens au faite en leurs expliquant que ce n'est pas parce que c'est laid qu'il ne faut pas aimer que toute les personnes son différente mais pas moins gentille pour la la fin de la journée mon petit voisin vas trouver l'institutrice et lui dit " tu sais madame Adrienne t'est laide mais j't'aime bien quand même" 2toujours le même petit garçon il était dans la cuisine et disait s'en arrêt "pas encore, pas encore, pas encore..." sa mère lui demande " mais qu'est ce que tu fais ?" il répond "rien je cherche des poussins" et il continue "pas encore, pas encore, ..." sa mère vas quand même voir et là debout sur une chaise entreins de casser des oeufs dans l'évier pour trouver des poussins _________________ cata de mineAdminNombre de messages 341Date d'inscription 28/09/2007Sujet Re nos chères petites têtes blondes Mer 17 Oct - 1839 _________________ Mag3009Cat à marrantNombre de messages 72Age 39Localisation BruxellesDate d'inscription 04/10/2007Sujet Re nos chères petites têtes blondes Lun 29 Oct - 1529 Ah les enfants, ils savent vous sortir de ces trucs Je pense à une petite là comme ça... quand je travaillais encore chez les grands 18 mois à 3 ans. J'étais assise sur un banc dans la section avec ma collègue et une petite jouait à côté de nous. Je parlais avec ma collègue et je lui disais "ouais...." la petite me regarde et me dit "heu Magali....on ne dit pas "ouais", on dis "oui" Que voulez-vous répondre à ça Contenu sponsoriséSujet Re nos chères petites têtes blondes nos chères petites têtes blondes Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Malheureusement il semblerait que nos chères petites têtes blondes soient plus intelligentes qu’Apple n’a bien voulu le croire. Selon un post publié sur Reddit, on apprend que des enfants
Parents, en manque d’autorité ?Trop cool » les parents d’aujourd’hui ?De toute évidence, l’éducation des enfants a évolué, et les parents nouvelle génération » ne semblent plus avoir le dernier mot. Peur du conflit, culpabilité à imposer des règles, ne pas vouloir faire vivre à son enfant ses propres frustrations au même âge… nombreuses sont les raisons qui amènent aujourd’hui les familles à lâcher du leste côté éducation. Pour les parents qui travaillent beaucoup, adopter une attitude permissive est aussi une façon de ne pas gâcher les seuls moments passés avec son enfant. D’autres, par fatigue ou gain de temps, n’ont plus envie de lutter contre leur bambin adoré. Moralité ils n’arrivent plus à imposer de limites, pourtant indispensables dans l’ c’est oser dire nonSoyez-en sûrs les interdits permettent aux enfants d’avoir de vrais points de repères, de leur faire comprendre ce qui est acceptable, ou non. Bref, ils sont là pour leur bien ! Cela commence dès le plus jeune âge, lorsque les parents posent les premières règles de sécurité, puis de vie sociale et familiale. Le piège, dans tout ça, c’est de ne plus croire en la légitimité d’imposer de telles limites. Alors forcément, aussi malins soient-ils, les chérubins sentent bien leurs parents douter et en profitent pour leur en faire voir de toutes les couleurs… N’oubliez pas une limite posée doit apparaître comme infranchissable à leurs chantage, à la mode ?Certains parents en manque d’autorité se tournent, consciemment ou inconsciemment, vers le chantage, solution de facilité par excellence. Attention, cette pratique nuit aux bambins plus souvent qu’on ne le pense. Monnayer avec eux tel ou tel comportement, c’est en quelque sorte leur demander leur accord Si tu es sage, tu auras un cadeau, ok ? ». Dans ces situations, l’enfant conçoit qu’il peut être récompensé pour adopter une conduite normale », alors qu’il n’est pas sensé l’être ! Il doit pouvoir écouter ses parents sans contre-partie. De même, le chantage lui permet de prendre le pouvoir, destructeur pour son âge. Ce n’est pas à lui de décider, il a bien le temps pour ça…Interdire pour l’aider à grandirLoin de brimer les enfants comme certains pourraient le penser, leur donner des limites les aide au contraire à se construire. Bien évidemment, le rôle des parents n’est pas d’imposer une liste de contraintes, au risque d’étouffer leur progéniture. Il s’agit plutôt de poser fermement des règles, essentielles à son développement psychologique et affectif. Certes, elles freinent un désir immédiat, mais elles permettent aussi aux bambins d’avancer. Quoi de mieux que les limites éducatives pour les aider à se forger une identité et les amener à faire des choix dans la vie ?Lui fixer des limites, c’est l’aimerBeaucoup de parents renoncent à imposer leur autorité par peur de perdre l’amour de leur bambin. Or, autorité et amour sont pourtant complémentaires. Grâce aux interdits, un enfant se sent davantage aimé et protégé. Lorsqu’une décision est prise à juste titre, la contrainte n’est que superficielle pour lui. Il ressent que ses parents le guident et cela le rassure. Il faut savoir qu’imposer des règles de conduite est l’unique moyen d’être aimants et avant-goût du monde réelC’est comme ça, les enfants sont comme soumis à une sorte de dépendance du plaisir. Difficile alors, pour eux, de résister à toutes les tentations qui les entourent ! Ils veulent ci, ils veulent ça… et espèrent bien arriver à leurs fins. Certes, les parents sont là pour répondre à leurs besoins, mais aussi pour les protéger de ces pulsions débordantes. Dire STOP à ces désirs - non indispensables - est essentiel, même si cela doit passer par un peu de frustration. Ces privations permettent de replacer les chérubins dans la réalité, car, dans la vie, on ne peut pas tout avoir… Contrairement à ce que l’on pense, les enfants rois sont angoissés par leur toute puissance. En grandissant, bon nombre sont incapables de supporter les interdits de la société. D’où l’importance de les y préparer dès le plus jeune conflit, passage obligéMalheureusement, il ne suffit pas de lever le panneau stop pour qu’un enfant obéisse. Face aux limites imposées, les bambins se rebellent… naturellement. C’est alors aux parents de résister, tout en acceptant le refus d’autorité de leurs chères têtes blondes, en plein apprentissage. En se disant Mon enfant doit à tout prix m’obéir », les adultes risquent de répondre violemment aux transgressions, ce qui discréditerait leur autorité. C'est pourquoi, il vaut mieux être à l'écoute de son enfant et essayer de comprendre les raisons de son refus. A savoir les bambins vivent dans l’instant et n’apprécient guère le changement. C’est pourquoi il est important d’instaurer un temps de transition Je te laisse 5 minutes pour jouer et après au dodo ! » Les parents peuvent ainsi être accommodants, tout en restant fermes et cohérents sur l’ pour mieux se faire obéir ?Cris, chantage… face aux débordements des enfants, les parents ont leurs armes. Ces réactions de défense marquent l’impuissance des adultes devant l’attitude de leurs chérubins. Poser fermement et sereinement des limites peut suffire, mais quand les parents ont affaire à de véritables têtes dures, parfois, le ton monte et la punition tombe ! L’émotion prend alors le pas sur l’éducation. Françoise Dolto, célèbre psychanalyste, pensait qu’il pouvait y avoir du bénéfique dans la colère. Pour elle, un parent qui pourrait tout supporter sans s’énerver apparaîtrait à l’enfant comme un être effrayant à cause de sa toute puissance. Concernant les punitions, elles sont, selon le pédopsychiatre Patrick Delaroche, indispensables car elles donnent de l’importance à l’interdiction en cas de c’est aussi communiquerQuand un enfant dépasse les limites, il est important de lui expliquer pourquoi vous vous êtes mis en colère, et pourquoi il est puni. Il est bon de lui rappeler calmement, mais fermement, les limites que vous lui avez fixées, tout comme sa place par rapport aux adultes. En clair, il doit savoir qui fait sa crise d'ado! La crise d’adolescence, tous les parents la redoutent. Dans cette période tumultueuse, les jeunes s’opposent systématiquement pour montrer à leur famille qu’ils grandissent et qu’ils s’affirment. Les parents doivent alors redoubler de patience. La solution la plus appropriée serait certainement de renoncer aux limites superflues, tout en maintenant les règles essentielles contribuant à la responsabilité parentale. Il ne faudrait pas être plus sévère, mais plus présents. Conseil de la pédiatre Edwige Antier Les adultes doivent exercer un soutien affectif et scolaire sans être trop pesants et intrusifs. Il faut toujours reconnaître les points forts de son enfant et éviter les leçons de morale contre lesquelles il s’immunise. »Papa, Maman chacun son rôleA l’époque de nos grands-parents, le père incarnait l’image de l’autorité, et la mère, celle de la tendresse. Aujourd’hui, pour la psychanalyste Claude Halmos, il n’y a plus de hiérarchie entre les deux parents, leur autorité est complémentaire ! Concrètement, le père constitue un point d’appui important pour la mère il tient la fonction d’un tiers comme celle du policier dans la société. Lorsqu’une maman n’arrive pas à se faire entendre et qu’elle menace alors de le dire au père, les petits récalcitrants comprennent vite qu’elle a un recours… Pour la pédiatre Edwige Antier, en revanche, ce n’est pas une question de sexe, mais bien de tempérament Il y a des parents qui ont une autorité naturelle et dont la seule voix est efficace, d’autres doivent négocier ».Trois ouvrages, pour vous aider à retrouver votre autorité Faut-il être plus sévère avec nos enfants, Ed. Mordicus, Edwige Antier et Aldo Nouari Il n’y pas de parent parfait , Ed. Marabout, Isabelle Filliozat Mon enfant s’oppose, que dire, que faire ?, Ed. Odile Jacob, Gisèle George10 réponses clés sur l’autoritéPourquoi les enfants d’aujourd’hui ont du mal à respecter les limites ? Les couples parentaux ont des liens menacés ou distendus par les séparations, la pression professionnelle. Dès lors, les rapports entre l’enfant et ses parents sont à la fois anxieux et discontinus, ce qui ne favorise pas l’autorité. »Sommes-nous dans une période de crise de l’autorité parentale ? Oui, car l’enfant est au centre de la société, seul élément de foi en l’avenir. »L’éducation permissive permet-elle à l’enfant de s’épanouir ? Pas l’éducation permissive, mais plutôt l’éducation respectueuse du développement de l’enfant. Et cela demande de la disponibilité. »La sévérité est-elle nécessaire à une bonne éducation ? Non, pas du tout. Ce qui est réellement nécessaire, c’est la sérénité. » Il faut rester calme, lui dire que l’on comprend qu’il peut avoir des désirs, mais lui expliquer aussi qu’on ne peut pas les satisfaire. »À partir de quel âge faut-il instaurer son autorité ? L’autorité se conquiert dès la naissance, par l’ajustement aux besoins de l’enfant. Bien entendu, jusqu’à 3 ans, il a engrangé vos valeurs et agit dans le sens que vous lui avez montré en partageant ses découvertes. »Après cet âge peut-on dire qu’il est trop tard pour instaurer une autorité ? Si, à 3 ans, il a pris l’habitude de provoquer avec succès des cris et des tapes, il sera difficile de rétablir une autorité sereine. Vous devrez alors retrouver votre sérénité et décider ouvertement de ne plus taper. La diversion ou l'exclusion pendant quelques minutes sont encore les attitudes les plus efficaces. » Il ne faut pas vouloir mettre des limites non justifiées, et bien faire la part entre les désirs qu’on ne peut pas toujours exaucer et les besoins vitaux pour son développement. Une fois l’interdit évalué, faire diversion Non, mais on peut faire ceci… ! ». S’il s’entête vraiment je suis fatiguée, mais tu peux faire ta colère dans ta chambre ». Il faut absolument éviter fessées et hurlements qui endurcissent les enfants. »Comment gérer l’autorité dans une famille monoparentale ? Les enfants sont-ils plus durs ? Dans une famille monoparentale, l’autorité paraît plus simple jusqu’à l’adolescence, où la crise peut être plus compliquée à gérer. Les enfants peuvent être, en effet, endurcis par la séparation parentale ou la non reconnaissance par l’autre parent. »Quel conseil donneriez-vous aux parents pour qu’ils ne soient pas envahis par un sentiment de culpabilité en imposant des règles ? Avoir bien réfléchi à ne pas imposer de règles absurdes parce qu’ils sont pressés. Ce qui est tellement fréquent en pratique quotidienne… » Toutle mois d'août, on vous présente un tour d'horizon des centres aérés du Vignoble. Aujourd'hui, Saint-Lumine-de-Coutais.
Combler nos besoins est la clé de notre bonheur. Pourquoi laisser cette clé aux autres ? Tout ce que vous faîtes dans votre vie, vous le faites pour combler un besoin, que vous en soyez conscient ou non. Pourquoi est-ce qu’une femme malheureuse avec son mari reste auprès de lui pendant des années ? Parce qu’elle comble un besoin. Pourquoi est-ce qu’un mari attentionné offre des fleurs à sa femme ? Pour combler un besoin. Toute votre vie repose sur vos besoins. Nathalie MARTIN Vous êtes heureux s’ils sont comblés et malheureux s’ils ne le sont pas. C’est aussi simple que ça. Enfin, sur le papier ! Parce que dans les faits, ce n’est pas aussi limpide pour nous. Pourquoi ? Parce que nous ne savons que peu de choses voire rien de nos propres besoins. L’a-t-on appris à l’école ? Non. Nos parents nous ont-ils transmis quels étaient nos besoins et comment les combler ? Non. On ne peut donner que ce que l’on a et c’est une ressource qu’ils n’avaient très probablement pas eux-mêmes. Comment notre éducation peut-elle passer à côté d’un point si important et si crucial à notre épanouissement ? Franchement, même après avoir enseigné au collège pendant 15 ans, je n’ai pas de réponse à cette question… Pourquoi s’acharne-t-on à faire rentrer dans la tête de nos chères têtes blondes la loi d’ohm, alors qu’on passe sous silence des points aussi essentiels à leur bonheur que la confiance en soi, la communication non-violente, et la pleine responsabilité qu’ils ont de combler leurs besoins ? Je dois vous avouer que cette incompréhension a grandement participé au profond malaise que je ressentais à l’enseigner cette fameuse loi d’ohm ? Donc, je ne sais pas pourquoi cela n’est pas encore enseigné à l’école, en revanche, ce que je sais, c’est que nous pouvons apprendre à tout âge et qu’il n’est jamais trop tard pour apprendre à combler nous-mêmes nos besoins. Voici d’ailleurs 3 bonnes raisons de ne plus compter sur les autres pour combler vos besoins 1. C’est un remède contre la dépendance affective. Lorsque vous entendez ce mot, à quoi pensez-vous ? Souvent, nous pensons à une femme soumise, voire violentée. Ce sont là des cas extrêmes et je peux vous assurer que la dépendance affective commence bien avant ça. Elle commence à partir du moment où vous comptez sur les autres pour vous rendre heureux. Elle se traduit par des petites » phrases comme J’ai besoin de toi », Ne me quitte pas », Sans toi je ne suis rien », Je veux que tu me rendes heureuse »… Ces phrases sont loin d’être insignifiantes elles montrent à quel point notre bonheur dépend de l’autre, parce que nous comptons sur lui pour combler nos besoins. 2. C’est reprendre la pleine responsabilité de sa vie. Ce mot peut faire peur RESPONSABILITE. Combien donneraient certains pour ne pas être responsables de leur vie ! Combien donneraient-ils pour ne pas avoir à regarder leurs erreurs » qui n’en sont en fait pas ; en face ? C’est tellement humain. Et en même temps, reprendre sa responsabilité signifie aussi reprendre son pouvoir. C’est arrêter de se croire petit, impuissant, et reprendre sa liberté d’être. 3. C’est éviter bien des conflits ! Combien de femmes à commencer par moi il y a quelques années ! comptent sur leur mari pour les rendre heureuses. Elles attendent de leur beau prince charmant, qu’il répare leurs blessures du passé, et remplisse leur vie d’amour, de sécurité et de joie. Elles attendent, comme j’ai pu le faire pendant longtemps, que leur conjoint devine ce dont elles ont besoin. S’il m’aime vraiment, il va le faire, ou il va y penser » ; Combien de fois ai-je été déçue, combien de fois ai-je boudé des heures, des jours… parce que je me sentais blessée que mon mari n’ait pas deviné ce qu’il ne pouvait pas deviner ! J’y repense avec tendresse maintenant, mais que de larmes versées inutilement à l’époque. Combler vos propres besoins est la clé pour construire un bonheur durable. Il est important que vous gardiez cette clé, et que vous ne la confiiez plus aux autres. Rappelez-vous que tout ce que vous mettez à l’extérieur de vous peut vous être enlevé en un claquement de doigts la vie est tellement pleine de surprises… des bonnes et des moins bonnes aussi… En mettant les clés de votre bonheur à l’intérieur de vous, elles ne pourront alors jamais vous être enlevées. Si vous voulez en savoir plus, afin de travailler en profondeur sur vos besoins et découvrir une nouvelle manière de vivre, en étant pleinement responsable de votre bonheur, vous pouvez vous inscrire aux ateliers de la confiance en soi. Si vous avez aimé cet article, je vous invite à lire ceux ci-dessous
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